3/5 MIN. Et c’est reparti pour un tour, hahahaha !!! Franchement, j’pourrais faire un copier/coller de ma critique du premier « clash » qu’on n’y verrait que du feu, mais ce serait malhonnête de ma part envers ……. Les artistes (Pas envers vous, quand même ! Vous gobez tout c’que j’écris, hahahaha !! C’t’une farce, voyons ! J’vous aime. « Smack »). Les scénaristes Terry Rossio, Jeremy Slater et Simon Barrett ont travaillé fort (grand mot ici) sur la nouvelle rencontre entre Kong et Godzilla, soit une terre creuse encore plus creuse que la précédente, gouvernée par un vilain extra vindicatif super jaloux, rien de moins, hahahaha !! Le bon côté de leur travail fut « d’effacer » quelques personnages secondaires qui auraient alourdit le déroulement du récit. Ils ne ramènent que la scientifique éplorée (Rebecca Hall), la p’tite muette (Kaylee Hottle) et le comique de service (Brian Tyree Henry) + un clone d’Alexander Skarsgard (Dan Stevens). Ensuite, on s’tape dessus en infographie 3D pendant deux heures, hahahaha !! « Quessé » vous voulez de plus ?! C’est un « monsterverse », fait qu’ils nous en donnent un tas (Je n’voudrais pas être dans la chaise du réalisateur quand ils vont décider de tourner le SÛREMENT troisième chapitre !!!! Il commence à y avoir du monstre au pied carré !!!!) En tout cas, tant mieux pour les fans, hahaha !!!
Ben, c’est tout ! J’n’ai d’autre à rajouter. Comme vous l’avez évidemment compris, j’étais un ‘tit peu vendu d’avance, car j’aime bien la nouvelle génération de « kaijus » que nous offre le cinéma moderne (Pacific rim, de del Toro, est un « must » !!!! Mais pas sa suite, par exemple. YyYiiIssshhh….) et les studios ont la décente intelligence de laisser les rênes de ce type de production à des amateurs aussi finis que leur clientèle (et Adam Wingard est assez fini merci, haha !) Du plaisir assuré et un cerveau léger si vous êtes « croyant », hahahaha !!!
Pis tenez, un p’tit rappel des précédentes aventures… : Godzilla vs Kong et
(De l’ancien site de Cinémascope)
KONG : SKULL ISLAND
J’vais être franc avec vous, je ne donnais pas cher la peau de ce gorille-ci ! On nous le « vendait » comme un « prequel » et tout le monde sait que la mythique créature n’a pas vu âme qui vive depuis des lunes (on a les films de 1933, 1976 (mouin !) et de 2005 pour référence). Mais quand on visionne le travail visuel du jeune et talentueux Jordan Vogt-Roberts (Kings of summer) et entend l’excellence du scénario de Dan Gilroy, Max Borenstein et Derek Connolly à partir de ces productions pour en faire leur, Kong : Skull island est un très bon début de nouvelle franchise pour Warner bros. qui pourra faire la barbe au Dark universe de Universal studios. Tous les éléments référentiels y sont (Kong évidemment, tsé; la blonde; le héros; les grosses « bibittes »; l’organisateur; le militaire; la musique épique de Henry Jackman; l’action « non stop »), Kong : Skull island fait ce qu’on lui demande : écraser la concurrence dans tous les sens du terme! Malgré tout le bon vouloir des acteurs en place (Brie Larson, Tom Hiddleston, John Goodman, Samuel L. Jackson, John Ortiz, Toby Kebbell), ils se font tous voler la vedette par King Kong. Seul John C. Reilly en vieux naufragé tire l’épingle des immenses pattes du primate. Voyez Kong : Skull island pour ce qu’il est, un divertissement explosif et assumé qui rend hommage à quelques classiques par la bande (Apocalypse now, King Kong ’33, Casablanca, …) Moi qui pensais revivre l’aventure de 1986, King Kong lives ou des affaires nippones des années ’60, mon cerveau est sauf et repu ! Souriant !!!!!!!!! 3.5/5 par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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