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Cinémascope

GODZILLA: KING OF THE MONSTERS/GODZILLA: ROI DES MONSTRES


Banzaaaaaïïïï!!! Quoi? Yest où, l’problème? C’est un film avec des monstres qui se tapent dessus, vous ne vous attendiez quand même pas à de la profondeur philosophique sur l’existence de l’humanité ? Y-O-U-H-O-U ???? Pour une rare fois qu’un studio permet le tournage d’une production dont l’histoire n’a que deux pages et demi (lire sarcasme ici, hihi !!) Au moins, on sent de la part des artistes impliqués une réelle passion pour le sujet et un certain respect envers le public friand de ce genre d’ineptie (Ben quoi ? Je suis à même de comprendre que c’est du pur divertissement de masse pour « geeks assumés », dont je suis fier de faire partie !!!!!!!!!! YEEES, c**isse !!!) Ce Godzilla va piger à sa source japonaise et la multitude « d’insides » prouve qu’ils ont fait leur devoir. On n’échappe certes pas à la morale américaine « qu’il-n’y-a-rien-de-telle-que-la-famille-et-bla-bla-bla », mais si on en fait fi (c’qui plutôt difficile, j’admets, tant ils nous canardent avec des plans du père, de la mère, de la fille et du pas de chien (ouf !), ce qui donne par moment des malaises à la Roland Emmerich), cette suite s’imbrique dans un « monsterverse » qui culminera avec la rencontre entre le lézard millénaire et un certain primate… Ouh ! Les quelques images sont souriantes !!! ‘Scusez ! J’m’épivarde ! Cette suite redonne des lettres de noblesse aux productions « kaijû » qui ont bercé l’enfance de beaucoup de « pas de vie » !!! HAHHAHAHAHAHA !!!!!!!!!! « Come on », on s’amuse, comme eux ! Ce n’est pas nous qui avons mis 200M$ dans cette production (argent bien dépensé, quant à moi !) et le résultat est nickel (si on oublie la pseudo-histoire du cinéaste Michael Dougherty et de son coscénariste Zach Shields. On s’en sacre, des relents de conscience, donnez-nous du Godzilla piochant sur Ghidorah et Mothra venant à sa rescousse avant de croiser Rodan. Pif, paf, boum exponentiel !!!) Mais ce que j’ai le plus apprécié est l’implication d’une distribution cinq étoiles (contrairement au remake à Emmerich !!! ) : Vera Farmiga, Ken Watanabe, Millie Bobby Brown, Ziyi Zhang, Kyle Chandler, Charles Dance, Sally Hawkins, Bradley Whitford, David Strathairn, Thomas Middleditch… Tous/tes d’excellents acteurs de soutien mis au service d’un hommage senti à la mythique créature nippone. On flatte mon égo. Les studios Warner ont souvent raté le coche, ces dernières années, en suivant la vague du moment (les adaptations DC comics, pour ne pas les nommer, est le meilleur exemple), mais cette branche leur est propre et Godzilla, Kong et autres bibittes règnent en maitre. J’aurais aimé mettre le célèbre cri de Gojira (Pas l’band métal français, que j’adore en passant…) et qui m’fait lever l’poil des bras à chaque fois pour finir la critique, donc RoOOAAaaarrrrrRRRRRRR !!!!!!!!!!!!!!! 3/5 min. par François Gauthier cinemascope@deltar.net P.S. : Du plaisir coupable………..

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