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CRITIQUES DE SÉRIES

SÉRIES -  

2024

Depuis plusieurs années, nous assistons à une révolution dans le monde des séries télés. L’augmentation de chaines spécialisées et surtout l’arrivée du service en ligne comme le géant Netflix ont grandement contribué à cette explosion. Ce phénomène a permis une plus grande diversité mais également une qualité qui n’a plus rien à envier au monde cinématographique.  C’est pourquoi à chaque mois maintenant, Cinémascope vous offrira la critique d’une série à voir parmi la grande variété offerte.

OCTOBRE 2024

The Lord Of The Rings - RINGS OF POWER, saison 2 (Prime) 2.5/5

Un "autre" prequel...  mais cette fois, c'est au Seigneur des anneaux auquel on s'attaque, rien de moins.  Des milliers d'années avant l'œuvre de Tolkien, cette série retrace la naissance des anneaux de pouvoir et du grand danger qu'ils provoqueront en Terre du Milieu.  Forgés par les Elfes, ces trois premiers anneaux qu'ils ne peuvent contrôler devront vite être dissimulés, car le mal rôde, c'est-à-dire Sauron lui-même.  Sous les parures d'un roi elfique, il tentera de les tromper et de les manipuler pour que soit forgé de nouveaux anneaux, tout d'abord pour les nains et par la suite les hommes, afin de corrompre leurs âmes.  Si le scénario principal est déjà mieux construit que la 1ere saison, quelques histoires en parallèle manquent vraiment d'intérêts en plus de certains personnages secondaires souvent surjoués.  Il y a celle du magicien amnésique dont nous connaîtrons l'identité qu'au dernier épisode.  Mais même là...  Résultat: 4 bons épisodes sur 8.  Mieux que la précédente, mais encore insuffisant.  Il y a de bons flashs, gardons espoir pour la suite...  Par Dominic Vallières cinemascope@deltar.net

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AOÛT 2024

HOUSE OF THE DRAGON, saison 2 (HBO/Crave) 4/5

"Prequel" de la série Game of thrones, House of the dragon (tiré du roman "Fire and Blood" de George R.R. Martin) se passe 172 ans auparavant.  Depuis la mort du roi Viserys, la maison Targaryen se dispute la couronne.  Le clan d'Aegon, petit-fils que le défunt roi aurait nommé lors de son dernier souffle, et qui siège déjà sur le trône, devant Rhaenerya: dernière survivante des enfants de Viserys, dragonnière et héritière légitime.  Si la saison 1 était une mise en place des deux clans et du conflit qui s'en venait, on peut dire qu'ici, on est en plein dedans.  Trahisons, batailles et jeux de pouvoir sont au menu dans cette saison palpitante en rebondissements.  Un prélude à l'inévitable guerre civile et "danse des dragons".  S'il m'a fallu un certain temps à embarquer dans le "bandwagon" de Game of thrones, j'peux dire que pour House of the dragon, je suis accroché.  Il faudra patienter encore deux ans pour la suite de cette réussite télévisuelle.  Par Dominic Vallières 
 cinemascope@deltar.net

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JUIN 2024

 

STAR TREK- DISCOVERY saison 5 (Paramount+)  3/5

Pour cette cinquième et dernière saison, Mr. Saru, maintenant ambassadeur, reste au quartier général de Starfleet pour gérer des conflits politiques, alors que le reste de l’équipage du Discovery part à la recherche d’indices pour s’emparer d’un ancien artefact possédant un pouvoir très puissant avant les méchants Breens.  Car si cette technologie tombe dans de mauvaises mains, ce serait catastrophique !  Sans être mauvaise, cette dernière saison n’accote pas les quatre précédentes.  Mais avec autant de séries qui naviguent dans les mêmes eaux, on finit par faire le tour.  Et même si j’aime sa "série-sœur" Strange new worlds, Discovery est ma préférée, car elle a su se démarquer par son originalité tout en respectant les bases de l’univers Star Trek.  Par Dany Nadeau cinemascope@deltar.net

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MAI 2024

 

RIPLEY (Neflix) 4/5

Ripley, comme dans l‘Énigmatique Mr. Ripley ?  Oui, c’est bien une nouvelle adaptation en format mini série, écrite et réalisée par Steven Zaillian d’après les romans de l’auteure américaine Patricia Highsmith.  Steven Zaillian est connu comme scénariste entre autres pour the Irishman, Schindler’s list, Moneyball, ... et comme réalisateur pour A Civil action et Searching for Bobby Fisher.  La série a été tournée à New York et surtout en Italie (à Rome, Atrani, Venise…) et en noir et blanc, en collaboration avec le directeur photo Robert Elswit (Oscar pour There will be blood/Il y aura du sang), un de mes films préférés !  Cette version de Ripley donne dans le style hitchcockien probablement à cause des cadrages, du noir et blanc et du sujet, un thriller psychologique néo – noir.  Une bonne note pour la présence de Dakota Fanning qui n’a pas un grand rôle, mais qui le rend parfaitement et Andrew Scott (Tom Ripley) qui interprète d’une manière si convaincante ce tueur brillant et narcissique, presqu’attachant.  Je ne m’attendais à rien, mais j’ai moi aussi été bluffé par ce cher Tom ;) par Dany Nadeau  cinemascope@deltar.net

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AVRIL 2024

 

ELITE (Netflix) 4/5 (saisons 1 à 3) et 2.5/5 (saisons 4 à 7)

En 2024, j’ai décidé de voir et de critiquer moins de séries et m’attarder à celles qui valent vraiment la peine.  Et c’est le cas d’Elite, en tout cas pour les trois premières saisons.  Au moment où j’écris ces lignes, il existe sept saisons et une 8eme et dernière est confirmée.  Mais je me devais de faire une critique tout de suite après la troisème, car celle-ci marque la conclusion d’un chapitre initialisé dans la première.  Des étudiants de la classe moyenne, dont l’école s’est effondrée, on la chance d’être intégrés dans un établissement prestigieux d'Espagne.  Les personnages font face à des conflits de classes de société et même un meurtre à résoudre.  Chaque saison contient huit épisodes d’une heure et je me suis tapé les trois premières en une semaine et demi environ.  Mais mon intérêt a commencé à diminuer dans la 4quatrième et de pire en pire jusqu’à la septième, car on voit rarement ou carrément plus aucun personnage de la mouture originale, sauf un vers la fin, mais sans plus.  Et aussi à partir de la quatrième, on dirait qu’on tourne en rond plus que jamais dans les différentes relations.  Donc ça vaut la peine pour les trois premières saisons, dont l’histoire a un aboutissement.  Par Dany Nadeau  cinemascope@deltar.net

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