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CRITIQUES DE SÉRIES

SÉRIES -  

2022

Depuis plusieurs années, nous assistons à une révolution dans le monde des séries télés. L’augmentation de chaines spécialisées et surtout l’arrivée du service en ligne comme le géant Netflix ont grandement contribué à cette explosion. Ce phénomène a permis une plus grande diversité mais également une qualité qui n’a plus rien à envier au monde cinématographique.  C’est pourquoi à chaque mois maintenant, Cinémascope vous offrira la critique d’une série à voir parmi la grande variété offerte.

DÉCEMBRE 2022

 

 

Wednesday/Mercredi saison 1 (Netflix) 3.5/5.  Wednesday est la nouvelle série n.1 sur Netflix, créée par Tim Burton et centrée sur le personnage de “Mercredi Addams”, campée par l’excellente Jenna Ortega (Scream, X, the Babysitter: Killerqueen).    Christina Ricci (la Mercredi des films à Barry Sonnenfeld) interprète cette fois-ci “Marilyn Thornhill”, une enseignante de Nevermore (l’Académie des Marginaux).Emma Myers interprète Enid Sinclair, la camarade de chambre de Mercredi.  Enid est une loup-garou non mutée qui adore les couleurs et respire la joie de vivre.  Il y a beaucoup de monde, mais soulignons que Morticia Addams est incarnée par Catherine Zeta-Jones.  Et sans oublier un rôle de soutien important:  “la Chose” qui donne un ‘coup de main’ à Mercredi.  L’histoire n’est pas tant originale. mais je crois que cette première saison a bien installé ses bases et mis la table pour une deuxième saison prometteuse.  Je n’étais pas certain de mon opinion avec les deux premiers épisodes, mais j’ai finalement été envoûté et j’ai clanché le reste en “2 claquements de doigts” hihi ;)  Par Dany Nadeau cinemascope@deltar.net

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NOVEMBRE 2022

 

 

The Watcher saison 1 (Netflix) 4/5.  Créée par Ian Brennan et Ryan Murphy (les mêmes que Monster - the Jeffrey Dahmer story), "the Watcher" est une minisérie de sept épisodes basée sur des faits réels.  J’ai donc décidé de me renseigner sur la véritable histoire pour ensuite me libérer l’esprit et regarder "the Watcher" comme une fiction.  En résumé, une famille achète une maison ancestrale et y effectue quelques travaux de rénovation quand elle commence à recevoir des lettres inquiétantes, voire menaçantes.  Naomi Watts, Bobby Cannavale, Mia Farrow, ainsi que le reste de la distribution sont excellents, mais je crois que c’est Bobby, dans le rôle du père de famille, qui se démarque.  Je pensais décrocher après les deux premiers épisodes, mais finalement, je me suis tapé le reste en une nuit.  Le scénario, le montage et la réalisation nous tiennent en haleine jusqu’à la fin. Par Dany Nadeau  cinemascope@deltar.net

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Chucky, saison 1 (Crave) 3/5.  Pour commencer, ne vous inquiétez pas, cette série ne tient pas compte du "remake" et continue la suite du film Cult of Chucky, pour le grand plaisir des fans!  Alerte "spoilers" (Je n’ai pas le choix d’en divulguer pour expliquer et situer cette série).  Premièrement,    dans le film Cult of Chucky, Charles Lee Ray a réussi à dupliquer son âme dans plusieurs poupées à la fois, en plus d’avoir enfin intégré un corps humain (une femme) !  Voici maintenant les bases de la série: Jake Wheeler, un ado solitaire de 14 ans, fait la découverte d'une poupée Chucky "vintage" lors d'une vente de garage.  Jake est un artiste qui crée justement des sculptures avec des morceaux de poupées !  Les bras m’en tombent !  Pendant ce temps,    Charles prend bien du plaisir dans son nouveau corps de femme.  Par contre, la possession n’est pas stable et la personne qui sert d’hôte revient parfois à la raison et essaie de se débarrasser de l'intrus !  Mentionnons le retour de Jennifer Tilly.  Andy (Alex Vincent) et son amie Kyle (Christine Elise, de Child's play 2) font aussi partie de la distribution, ainsi que Fiona Dourif, intégrée depuis le film Curse of Chucky (D.  Mancini, 2013).  En résumé, Chucky va foutre le bordel plus que jamais, car pour lui, manipuler les gens, c’est un jeu d’enfants, hihi !  N.B.: La saison 2 est diffusée depuis le 5 octobre sur les chaînes USA et SYFY.  Par Dany Nadeau 

cinemascope@deltar.net

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OCTOBRE 2022

 

DAHMER: MONSTER - THE JEFFREY DAHMER STORY/DAHMER: MONSTRE – L’HISTOIRE DE JEFFREY DAHMER (Netflix) 3.5/5.  D’entrée de jeu, je tiens à écrire que je suis zéro passionné par les tueurs en série.  Pour être franc, ils m’écœurent.  Je ne trouve rien de fascinant dans leurs affres meurtrières.  Ils sont juste dérangés.  Maintenant que c’est écrit, j’essaie d’être compréhensif quand un artiste s’attaque à l’un d’eux.  Je me dis qu’il peut être intéressant de montrer l’homme et son passé, le pourquoi du comment.  Malheureusement, il arrive trop souvent que ce genre d’exercice finisse par être simplement glauque, glorifiant ou futile.  Si j’ai regardé l’adaptation du tueur de Milwaukee, c’est parce que tout le monde me fatiguait les oreilles avec la qualité du travail des artistes Ryan Murphy et Ian Brennan et de l’excellence des interprétations.  Maintenant que c’est vu et digéré, je dois admettre que c’est vrai.  Cette série est excellente.  Le sujet m’écœure toujours, mais c’est fait avec doigté et même si parfois c’est un peu démonstratif, il reste que le portrait de ce sociopathe criminel déphasé est réussi.  Evan Peters dans le rôle-titre est troublant d’absence morale, tout comme Richard Jenkins en père monoparental.  Ce que j’ai le plus apprécié de la série est son approche globale : les victimes sont au même pied d’égalité que le monstre.  Murphy et Brennan montrent l’étendue des dommages créés par Jeffrey Dahmer, des voisins aux médias en passant par la police et les homosexuels.  Les scénaristes passent au peigne fin une quantité impressionnante de vies humaines touchées par le malheureusement célèbre meurtrier.  Les dix épisodes passent rapidement et se regardent aisément (façon de parler !!!)  Il y a très peu de temps morts, merci au jeu des acteurs et à la technique des réalisateurs (Jennifer Lynch, Paris Barclay, Clement Virgo, Gregg Araki et Carl Franklin) qui ont gardé une ligne directrice homogène à l’entreprise.  P.S. :  Je tiens à écrire que j’ai particulièrement détesté la partie de Dahmer en prison, alors qu’il recevait des lettres adulatoires de fans.  Juste dégueulasse !!!!!!  En tout cas………………………………….  Par François Gauthier cinemascope@deltar.net

 

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SEPTEMBRE 2022

 

STAR TREK – DISCOVERY, saison 4 (Crave) 4.5/5  – Créé par Bryan Fuller et Alex Kurtzman, Star Trek Discovery est, depuis 2017, un nouveau souffle pour cette franchise incluant le spin-off Strange new worlds (dont vous pouvez aussi lire ma critique).  Discovery se déroulent une dizaine d’années avant les aventures du capitaine Kirk. Sauf pour les saisons 3 et 4 qui se déroulent à une autre époque. Le USS Discovery est un vaisseau exceptionnel, car il est équipé d’un moteur sporique expérimental !  Cela signifie que le vaisseau peut se téléporter d’un point A à un point B dans la galaxie instantanément, grâce à un réseau de spores émis par des champignons, rien de moins!  Mais cela apportera son lot d’imprévus qui s’enchaînera sur les quatre saisons de la série.  Donc, la saison 4 est aussi bonne que les autres, car elle en est la continuité.  Que dire de la distribution?  Elle est GÉNIALE !!!  Pour en nommer quelques-uns, Michelle Yeoh (saisons 1 à 3), Anson Mount (Capitaine Pike saison 2), Doug Jones dans le rôle du Commandant Saru (Il est un extraterrestre.  Un Kelpien, plus précisément !  Il est un de mes personnages préférés, car il est calme, sage dans son attitude et très attachant) . Et la vedette, le coeur de cette série, Sonequa Martin-Green, commandeur, capitaine Michael Burnham !  Une femme forte, sensible et rebelle ... ;)  La série Discovery est plus dynamique dans son traitement que les précédentes, mais elle respecte les origines et les valeurs installées depuis le début par le créateur Gene Roddenberry.  Par Dany Nadeau (Je suis Starfleet ! ;)  Longue vie et prospérité, comme dirait Spock ! ;)  ) cinemascope@deltar.net

 

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ECHOES/ÉCHOS  (Netflix) 3.5/5  – Cette minisérie australienne (tournée en Caroline du Nord) de 7 épisodes, créée par Vanessa Gazy,, raconte l’histoire de deux sœurs jumelles identiques, Leni et Gina, incarnée par la charmante et talentueuse Michelle Monaghan, qui échange leurs identités et leurs vies autant dans l’enfance qu’à l’âge adulte.  Elles partagent tout, mari, enfants et vie professionnelle jusqu’à ce que l’une d’elles disparaisse mystérieusement.  Nous découvrirons rapidement les raisons de leurs échanges d’identités et qu’elles ont un lourd passé qui les poursuit toujours.  Honnêtement, j’avais peur que ça prenne une tournure trop caricaturale, style suspense bon marché.  Mais non, c’est bien écrit, bien monté (c’est primordial dans ce cas-ci), mais tout repose sur l’étendue de la performance de l'actrice principale qui réussit non seulement à nous convaincre de l’existence des deux jumelles, mais en plus nuancé quand l’une fait semblant d’être l’autre ...  Par exemple, on perçoit la différence quand Leni joue le rôle de Gina versus quand c’est la vraie Gina !!  Le reste de la distribution est très bien aussi, mais Michelle, c’est le coup de cœur de l’histoire.  Bon je vais arrêter là, je commence à voir double ;) par Dany Nadeau  cinemascope@deltar.net 

 

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AOÛT 2022

 

THE SANDMAN (Netflix)  3/5 min – Pour avoir lu plusieurs épisodes de l’innovant auteur Neil Gaiman pendant mon adolescence (‘Fait longtemps, hein ?! Pfff, laissez donc faire… !!), c’est avec un grand intérêt que je me suis attardé à l’adaptation télévisuelle de the Sandman. Cette œuvre, cataloguée inadaptable, recèle beaucoup de thèmes, de références, d’allusions à l’Histoire, la mythologie, la psychologie et l’imaginaire. Beaucoup d’éléments à gérer, mettons, qu’une bande dessinée peut se permettre, car plus libre et moins coûteux. J’étais donc à la fois enthousiaste et craintif de voir une adaptation édulcorée du travail de Gaiman et du dessinateur Sam Kieth (remplacé quelques épisodes plus tard par Mike Dringenberg et par … et par…). La première émission met la table avec délectation, respectant sensiblement la source originale (Evidemment, vu que c’est Gaiman lui-même qui l’a scénarisé, aidé de David S. Goyer et Allan Heinberg). « Rêve » (Tom Sturridge) est malencontreusement capturé par un riche excentrique (Charles Dance) et parvient à se libérer 100 ans plus tard et cherche à reconquérir son royaume. Je schématise, car il y a beaucoup à absorber. L’univers visuel est bien rendu et les textes souvent profonds. Je ne peux malheureusement pas écrire que la série complète est une réussite, car un minimum de deux épisodes s’épivardent sur d’autres quêtes de personnages secondaires. Il faut être indulgent, car malgré tout, ces épisodes mènent à un plus grand schéma. Les connoisseurs (j’voulais « perler », hihi !!) aimeront les clins d’œil à des personnages de l’univers DC et sauront accepter les quelques transformations amenées pour le bien de la série. Netflix a mis le paquet sur l’ensemble visuel et sur la distribution et cela porte ses fruits. Tous les acteurs sont investis et les caméos (de 2-3 épisodes) sont savoureux (Joely Richardson, Charles Dance, David Thewlis, Mark Hamill, Stephen Fry, …) La réalisation est soignée et malgré la multitude de cinéastes, garde sa ligne directrice. Ai-je hâte à la deuxième saison ?! Honnêtement, je ne sais pas, car vers la fin, ils étiraient un peu la sauce (Comme toute bonne série qui se respecte, j’imagine ?!) Mais une chose est sûre : ils m’ont donné le goût de relire la source et ça, c’est un « plus » en leur faveur…. Jusqu’à ce que je constate que les artisans l’ont échappé, mais je n’en suis pas encore là !!!! The Sandman est intelligent, envoûtant et recherché. Par François Gauthier cinemascope@deltar.net

 

 

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THE TERMINAL LIST/LA LISTE FINALE (Prime) 2/5 max. – he Fugitive, the Punisher, a Few good men, Rambo: First blood; etc. etc…………….. On m’a gossé pour regarder la série (adaptée du roman de l’auteur Jack Carr) et vu que je suis en vacances, j’ai du temps devant moi……………………………….. !!! Mais pas ce temps-là !!! Cette mini-série de huit épisodes (Merci Seigneur, même si c’était déjà trop… !!!!!!!!!!!!) est simpliste, réductrice, démonstrative et linéaire. Dès le premier épisode, j’avais compris le pourquoi du comment et par qui !!!!!!!!! Zéro surprise au huitième épisode, là !!! Personnellement, je trouve désagréable cette manipulation de la conscience collective à démontrer que le méchant est un « tout » et que l’individualisme prône pour le bien commun. Surtout lorsque violence gratuite il y a !!! C’est deux poids, deux mesures. Il y a une victime. Il y a un « vilain » (généralement un big brother ou un Matrix ou whatever !!) et il y a des dommages collatéraux. Donc, peu importe le camp qui a raison, des têtes innocentes tombent ?!??! J’aime mettre la « switch » à off de temps à autre. Des films d’actions, de sci-fi, thrillers, nommez-les, j’en ai vu ! Je sais reconnaitre le bon grain de l’ivraie. Mais je sais aussi que je n’aime pas du tout être manipulé ouvertement. The Terminal list est déplaisante à regarder, car carrément soulignée au feutre rouge. C’est insultant pour l’intelligence. Je ne veux pas être « mean » envers les admirateurs de Chris Pratt, mais il devrait s’en tenir aux dinosaures et aux galaxies !!! Ce n’est pas un acteur. C’est un démonstrateur. Zéro conviction. Mais justement, c’est un outil et ce n’est pas tant de sa faute. D’ailleurs, question stupide pour les fans de séries (dont je ne fais franchement pas partie !) : Pourquoi autant de réalisateurs pour peu d’émissions ? Ce n’est qu’une heure de tournage (montée)? Ont-ils honte de remettre leur nom sur le prochain ?! Logistiquement, je comprends le point de vue des producteurs (C’est « cheaper », tsé !!!), mais……………. Une certaine constance ne serait pas de trop !!!! En tout cas……………….. Shit !!!!!!!!!! Par François Gauthier cinemascope@deltar.net

 

 

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JUILLET 2022

STAR TREK – STRANGE NEW WORLDS (Crave) 4.5/5  – La 2e saison de la série Star Trek: Discovery a mis la table pour son "spinoff", Strange New Worlds.  Ayant pris le commandement du U.S.S. Discovery pour une mission temporaire, le capitaine Christopher Pike (Anson Mount) regagne son vaisseau l’Enterprise.  J’adore la distribution, en particulier Anson qui est un bon équilibre entre le côté relax de William Shatner et la sévérité de Patrick Stewart.  Cette série se déroule une dizaine d’années avant les aventures du capitaine James T. Kirk. Cela fait référence aux premières idées du créateur Gene Roddenberry et à l’épisode pilote.  Plus tard dans la saison 1 de la série originale, des scénaristes ont réutilisé les scènes principales de cet épisode pilote pour pouvoir intégrer officiellement le nom du capitaine Christopher Pike dans l’univers de Star Trek, dont l’officier scientifique était un certain monsieur Spock...!!!  Je tiens à préciser que je me considère encore comme un "trekker" (amateur de cet univers) et non un "trekkie" (fan fini), quoi que ...  Bon, je suis un fan de la série originale, car j’ai grandi avec les rediffusions à la télé.  J’ai aussi apprécié les six premiers longs métrages; mes préférés étant les 2 et 6.  J’ai aussi bien aimé la trilogie (reboot/prequel) de J.J. Abrams/Justin Lin.  Par contre, j’ai suivi plus ou moins les autres séries, telles Deep space 9, Voyager, un p’tit peu plus the Next generation ou encore Enterprise, mais sans plus!  Mais voilà, les années ont passé et les série télés sont maintenant, pour la plupart, de qualité cinéma, ce qui explique probablement l’engouement de sortir trois séries de l’univers Star Trek en peu de temps.  Discovery, qui en est à sa 4e saison; Strange new world et aussi Star Trek: PICARD (une période "post-Next generation"),   dont vous pouvez lire la critique de la saison 1 par Dominic Vallières sur notre site.  Star Trek : Strange Wew Worlds, c’est du bonbon pour moi !  "Where no man has gone before ..."!!!  par Dany Nadeau cinemascope@deltar.net 

 

 

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OBI-WAN KENOBI (Disney +) 4/5 – Ayant déjà réalisé certains épisodes du Mandalorian, Deborah Chow nous livre Obi-Wan Kenobi, une minisérie de six épisodes se déroulant dix ans après la Revanche des Sith.  On y retrouve Ewan McGregor dans le rôle-titre et on a droit également au retour d’Hayden Christensen dans le rôle de Darth Vader/Anakin Skywalker.  Et pour le plaisir des fans, James Earl Jones y prête encore sa voix ! Je vous laisse découvrir le reste de la distribution pour ne pas dévoiler de "spoilers".  Le synopsis est simple: Obi-Wan s’était réfugié sur la planète Tatooine faisant profil bas pour échapper à l’Empire et pouvoir à l’occasion jeter un p'tit coup d’œil sur le jeune Luke.  Mais un évènement crucial le force à sortir de son exil !  Cette minisérie était-elle vraiment nécessaire ?  Je ne crois pas.  Mais je ne la regrette pas, car j’ai vécu de bons moments.  Le "casting" est parfait et les créateurs (Joby Harold, Hossein Amini, Stuart Beattie et Andrew Stanton) ont respecté l’univers Star Wars déjà établi.  Maintenant, plusieurs fans souhaitent une 2e saison !!!  La réalisatrice hésite et je la comprends.  Ce projet n’a pas été conçu pour avoir une suite et d’ailleurs, il faudrait laisser Obi-Wan tranquille pour qu’il puisse la prendre, cette fameuse retraite avant le moment propice .....!!  par Dany Nadeau cinemascope@deltar.net

 

 

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JUIN 2022

Stranger things, saison 4 (Netflix) 3.5/5HAHAHAHA!! Bande de rats!! Ils nous font le coup du « Volume 2 » !!! Excellent, comme dirait Mr. Burns !! Tant qu’à y aller à fond dans la nostalgie et le référentiel, les frères Matt & Ross Duffer nous en donne pour notre ca$h !! Maintenant, mon cerveau n’est pas adapté au modèle « série télé ». Je l’ai formaté depuis plus de quarante ans à un format cinématographique, soit passer du point A au point Z dans un délai raisonnable (4h30 de film « non stop » est mon top !!), où le déroulement de l’intrigue aura une conclusion. Honnêtement, étant plutôt néophyte du modèle télévisuel, j’ai toujours cru qu’un épisode, peu importe la série, faisait environ 50m. PAS 1h15m !!!!!! Mais l’idée de Stranger things de jouer sur la nostalgie des ’80 m’a permis de garder le cap (Ça et l’excellence de l’histoire, de la distribution, des effets visuels, du choix musical, …) C’est sensiblement la seule série que j’attends religieusement et que ne me déçoit jamais. J’admets que la saison 4 m’a laissé sur ma faim par moments, car les créateurs avaient beaucoup de monde à gérer et la chronologie en souffre… Jusqu’à ce que j’apprennes qu’il y aura un « Volume 2 » à la quatrième saison. Hahaha !! Donc, présentement, je leur laisse le bénéfice du doute concernant l’évolution de la Grande et de la petite histoire. Mais en soi, chaque épisode, MALGRÉ leur durée prolongée, est du bonbon pour les amateurs. Les frères Duffer en rajoute une couche dans le macabre, dans la psychologie des personnages et les clins d’œil référentiels. Je ne peux malheureusement pas faire de comparaison avec ce qui s’est fait ailleurs, mais personnellement, cette série est terriblement solide depuis le début et pourrait faire date dans le nouveau monde télévisuel. Hâte au 1er juillet en sacrifice !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Par François Gauthier  cinemascope@deltar.net

 

 

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