3/5 min. C’était ma première incursion dans le monde de l’auteure graphique R.J. Palacio. J’ai passé droit dans « l’boutte croche » lors de la sortie de l’adaptation de sa plus célèbre proposition Wonder (avec Julia Roberts, Owen Wilson, Jacob Tremblay en 2017). En fait, si j’ai regardé White bird, c’est simplement parce que c’était réalisé par Marc Forster (Christopher Robin, World war Z, Stranger than fiction, Kite runner) et qu’il y avait Helen Mirren et Gillian Anderson (Quoi ??!! J’la trouvais pas mal « cute » dans X-files………….. AaahhH !!! Laissez faire !!!) Et ce fut une bonne chose, car honnêtement, ce fut une belle expérience. Connaissant déjà le talent de Forster, je savais que ça ne serait pas trop mièvre et sentimental (quoique a Man called Otto fut….. En tout cas !! Bien sûr, on n’échappe pas à quelques moments mélodramatiques, car le thème central (le Génocide de la Deuxième Guerre Mondiale) peut conjurer certains artistes à exploiter la larme, mais Forster et le scénariste Mark Bomback (Live free or die hard, the Wolverine, Dawn et War of the planet of the apes) ont préféré, bien nous en fasse, de s’attarder aux personnages avant les situations. Ils ont donc construit une histoire d’alliance et d’amour grandissant simple entre enfants mésadaptés avec la Grande Histoire en arrière-plan. Cela donne une atmosphère réconfortante en temps de crise sans mettre de côté l’horreur des événements. L’Humain est un étrange virus et parfois, il faut reconnaitre qu’Il a du bon. En tout cas, c’est ce que Forster, Bomback et Palacio ont tenté de montrer à leurs semblables…. Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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