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Cinémascope

THE LODGE/PEUR GLACIALE

Dernière mise à jour : 17 juin 2020


3/5. Whoa!??! J’ai resté bête quand j’ai vu apparaitre le mot « Hammer » au tout début du film?!!? J’étais pas mal sûr que la Dame en noir (et surtout sa suite) les avaient achevé pour de bon. En tout cas, ces deux productions ont réussi à les mettre à genoux pour 5-6 années. Mais ENCORE une fois, ils renaissent de leurs cendres et nous proposent un petit thriller pas piqué des vers de la part des réalisateurs-scénaristes Severin Fiala et Veronika Franz. Hammer a vu la potentielle intention des artistes de revenir à un certain minimalisme qui faisait la fierté d’une catégorie de leur catalogue. On s’entend que je fais allusion à l’atmosphère glauque, plutôt théâtral des œuvres ayant fait leur gloire passée. Avec the Lodge, les studios veulent prouver qu’ils peuvent être sérieux et c’est en bonne partie réussi. J’admets que le duo cinéaste étire un peu trop le prologue, ce qui pourrait rebuter les moins patients d’entre nous, mais une fois l’ambiance ENFIN installée et la tension à son comble, une surprise n’attend pas l’autre. Les plus perspicaces verront vite les subterfuges, mais j’ai décidé d’embarquer dans le jeu des artistes et j’ai eu un certain plaisir à voir évoluer le noyau d’acteurs. Riley Keough est intéressante dans le rôle ingrat de la future belle-mère, restant sensiblement sobre et…. J’n’en dis pas plus! Pareil pour les jeunes Jaeden Martell et Lia McHugh. Ils sont franchement excellents. Selon moi, le film aurait bénéficié d’un montage plus concis, car certaines séquences ne font qu’alourdir le déroulement du récit, mais pour un renaisssance, the Lodge mérite sa place chez Hammer. Une petite production haletante. Par François Gauthier cinemascope@deltar.net

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