THE BAD GUYS 2/LES MÉCHANTS 2
- Cinémascope
- il y a 8 heures
- 2 min de lecture

3/5 min. J’vais être franc, j’avais hââââte en sa….crifice !! Il y avait longtemps qu’un film ne m’avait atteint à ce point (The Bad Guys) !! Le nombre fois que je l’ai regardé depuis sa sortie……….. J’en ai écœuré mes filles (‘Sont rendues grandes, mais pas moi, hahahaha !!!) Ce n’était pas le film du siècle, mais il a touché les bonnes cordes sensibles, le pourquoi une suite, bien entendu (Car je ne fus pas le seul à être touché, héhé !!) Je tiens à mentionner que ce n’est jamais de bon augure d’avoir autant d’attente, car généralement, on en sort déçu………………….. MAIS PAS ICI, HAHAHAHAHA !!! Ok, ok ! La surprise et la nouveauté du premier n’y sont plus, mais malgré tout, Pierre Perifel (qui revient aux commandes, aidé de JP Sans) n’a pas perdu une once de « coolitude » (hihihi !!) Les retrouvailles sont joyeuses, enlevées et explosives !! L’histoire (imaginée par Yoni Brenner et le scénariste du #1, Etan Cohen, d’après les livres d’Aaron Blabey) respecte les règles de la suite : plus de tout, hahahaha, mais fait avec intelligence et PAS toujours de bon goût (Les jokes de pets de Piranha ou le « french kiss » de Serpent et Susan la corneille, hahahahaha !!) Mais c’est assumé et en fin de compte, approprié, car ce sont les Méchants, tsé !! Ils ne font pas toujours dans la dentelle, hahaha !! L’arrivée de la nouvelle « gang » de « méchantes » met d’excellentes épices sur la recette éprouvée, ce qui donne des situations « priceless ».
Ce qui m’a le plus surpris est que l’histoire est véritablement élaborée et tordue et qu’en plus, aucun personnage n’est laissé pour compte. Perifel, Brenner et Cohen ont étonnamment bien dosé la multitude et on sent une dose d’amour (et non de ca$h…. Même si c’est le but nominal !!) dans l’aventure. Chapeau aux Méchants ! Rares sont les suites qui, dans mon livre, parviennent à au moins égaler leur mentor. P.S. : J’ai tellement tripé qu’en sortant d’la salle, j’ai acheté deux toutous (Loup et Serpent). Yavait Requin, mais tsé, au cinéma, ça coûte les yeux d’la tête, fait que, euh ?! Désolé, Requin ! J’t’aime pareil ! ReP.S. : Mais j’ai écrit la critique sur la trame sonore du #1, que j’ai payé une « beurré », car trèèèès difficile à trouver en CD. J’vous l’ai écrit, j’suis un enfant concernant ce genre de chose, hahahaha !!! Quand j’aime, j’m’embarque à fond. « I’m a good guy and I want a good time”, héhé! Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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