THE ELECTRIC STATE
- Cinémascope
- 25 mars
- 2 min de lecture

2/5 max. (Netflix). Hahahaha !! Les frères Russo ont « fk all » compris de la mauvaise expérience précédente (Gray man).
Vivement un Avengers, ça presse, pour qu’ils puissent mettre à bon escient leurs qualités visuellement lourdaudes (Dans un Marvel, ça passe mieux, disons !) Avec the Electric state, basé sur un livre du Suédois Simon Stalenhag, les Russo (mal-aidés par leurs scénaristes de toujours Christopher Markus et Stephen McFeely) nous amènent dans un utopique monde postapocalyptique des années ’90, où les robots ont tenté une insurrection, mais l’Humanité s’est défendue grâce, entre autres, à un p’tit bol informatique devenu légume…. En fait, j’pourrais continuer le synopsis, mais c’est du cliché par-dessus cliché. C’est à se demander si un film de science-fiction contenant des robots se doit d’être tous pareils !??!! The Electric state est visuellement très époustouflant, mais l’histoire (autant le grande que la petite) ne mène nulle part. Honnêtement, mon souvenir est que c’était les années ’80 la décennie vide de sens qui pète et explose de partout, pas les années ’90 !! Les années ’90, c’est Terminator 2 : judgment day. Nous sommes maintenant exactement 34 ans plus tard et T2 leur fait encore la barbe, c’pas drôle, là !! La gang aux Russo radote. The Electric state est tellement une expérience vide et insultante. « L’Intelligence artificielle n’est pas fine ! Méchante AI ! Redevenez amis avec votre entourage et blablabla !! » Est-ce qu’on donne vraiment cette impression de stupidité à Hollywood pour nous faire gaver à ce point ?! Fk ! Stanley Kubrick l’avait déjà compris, cette tangente, il y a plus de 50 ans de cela et il a passé la balle à Spielberg en 1999 (avec A.I., quoiqu’un résultat moindre, mais nettement plus sophistiqué que General electric !!!) Pis Chris Pratt sert à quoi au juste, sinon de faire-valoir au robot en tête de punaise ?! Franchement, the Electric Light Orchestra State of Nowhere to Run in my A** Fker est une méga bouette qui s’avale rapidement, mais qui ne sustente pas pantoute ! Deux heures de ma vie perdues. J’devrais m’habituer, depuis le temps, mais………… Nope ! Toujours aussi indigné qu’on me prenne pour une cruche sans fond !!! « OoOuUUhhH !!! La belle lumière verte !! OOOuUUhhH !!! Elle m’appelle. Elle m’hypnotise. OOouuUuhhH !!! J’vais m’approcher. BBBbiiIIiiiIzzZzzZZzz !!! AaarrrRRgGGghhh !!! Pouf…..» (…………………………………………….) Soupir ! Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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