2/5 max. (Netflix). Sacrifice, on ne fera pas avancer la cause des blockbusters estivaux intelligents avec celui-là ?!!!? Sur grand écran, ç’a sûrement beeeeen du punch, mais sur une télé, dans ton salon, c’est long sans bon sang !! Déjà que l’histoire (adaptée du roman de Mark Greaney. Le livre ne doit pas être très épais !!!) n’amène guère de nouveau à la vieille rengaine du « bon-agent-trahi-faisant-cavalier-seul-pour-trouver-le-plus-haut-coupable-placé », il a fallu que les frères Russo la noient dans une surenchère d’explosions, de chorégraphies et d’effets spéciaux « over the top ». Ya quand même des limites à faire péter toutes les villes où t’atterris, seigneur !!! On recule de 40 ans avec the Gray man !!! Weloome back in the ’80, baby, là où les personnages disent des bêtises aux trois secondes après chaque cascade. Scénario complètement absurde, c’est gênant (de Christopher Markus, Stephen McFeely et Joe Russo. La même gang que Captain America et Avengers 3-4. Il s’est passé quoi, les gars ?! La pompe à idées est épuisée, mais un chèque avec quelques zéros de Netflix pis voilà ??!! Ouille, votre orgueil !!!) Pour pallier aux inepties scénaristiques, les Russo ont choisi de compenser avec de beaux mecs : Ryan Gosling (MAIS QUESSÉ QUI FOUT LÀ, LUI ?! Bouhou…) ; Chris Evans (ridicule en big vilain) et Regé-Jean Page en agent double-quadruple-à la douzaine !!! Billy Bon Thornton et Alfre Woodard ont compris et passent l’arme à gauche (Good for you, les potes !) The Gray man n’a de gris que le titre. C’est tout noir ET tout blanc « icitte » !!!! Pas de milieu. Nope, nada, rien, zéro… !! Ça passe ET ça casse !!!! C’est cerveau à « off » plus taxe, là !!! Ya de l’argent flambé, les amis. On sauverait deux tiers-monde, là !!! On efface pis on ne recommence pas, s’il-vous-plait, merci, bonsoir !! (Mettre petit emoticoncombre de haut-le-cœur ici). P.S. : J’aime pourtant ce genre d’inepties, mais…… Non ! « Too much of a good thing”, là là!!! Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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