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SINNERS/PÊCHEURS

  • Cinémascope
  • 16 juil.
  • 1 min de lecture
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3/5 MIN. Belle surprise ! Pas ce qu’il ya de plus original, mais Ryan Coogler (Black panther 1 & 2; Creed) a su remanier des thèmes déjà vu pour en faire siennes. Bon, l’idée raciale est grosse comme le bras (Vilains blancs vs. « pas-tant-gentils-noirs-mais-yont-un-meilleur-fond,-fait-que… !!!! C’est ce que j’ai le plus apprécié de l’effort du cinéaste. Tout n’est pas noir, ni blanc. Il y a une zone grise qui mêle les deux parties. J’admets que la première portion prend beaucoup de temps à installer les principaux participants (C’est même un peu primaire comme approche, voire convenue), mais une fois la nuit tombée et le party bien entamé, la deuxième partie part sur les chapeaux de roues et on a intérêt à avoir attaché sa tuque avec d’la broche, Coogler s’amuse. Tout autant que Michael B. Jordan dans un double rôle de jumeaux. Bon, parfois, j’avais quelque difficulté à les différencier, mais le cinéaste pallie l’imbroglio par les costumes ET par la constante appellation de leurs noms. Je sais que la majorité d’entre vous connaissez le punch (Je le savais aussi avant le visionnement), mais malgré tout, Coogler garde la tension palpable et l’horreur graphique. Ça rappelle un certain film de Robert Rodriguez avec un certain Clooney et Tarantino, mais j’écris ça, j’n’écris rien, héhé !! Ouaip ! Une belle surprise, autant aux tripes qu’aux neurones (mais plus aux tripes, hihihihi !!) P.S. : J’ai aussi aimé la métaphore du musicien qui joue avec le diable (style le blues man Robert Johnson) et que le réalisateur finisse l’épilogue avec le Grand Buddy Guy. Très bel hommage !! Par François Gauthier cinemascope@deltar.net

 
 
 

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