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LITTLE MISS SUNSHINE (2006)

  • Cinémascope
  • 22 juil.
  • 1 min de lecture
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4.5/5. J’ai dû attendre longtemps pour pouvoir me faire une idée du film de Jonathan Dayton et Valerie Faris. Car le marché québécois n’est, semble-t-il, pas assez intéressant pour une sortie en salle à ce genre d’œuvre. Outre-Atlantique, que de bons commentaires. Une amie installée en France m’en avait glissé un mot l’été passé et me disait qu’il se devait d’être vu (quoiqu’elle eût aimé Scoop de Woody Allen!?!) Et vous savez quoi? Elle ne sait pas trompée. Rares maintenant sont les films qui surprennent, malgré une prémisse archi-connue (un road-movie avec une famille dysfonctionnelle) et Little miss sunshine est un véritable petit bijou scénaristique… Non! Un bijou à tous les points de vues! La musique est appropriée et écoutable; les textes SAVOUREUX (de Michael Arndt); les comédiens sont magnifiques (à commencer par Steve Carell dans un contre-emploi de « mononcle » gay suicidaire!); la réalisation est dynamique… Cette comédie est en train de passer complètement inaperçue et c’est un scandale! Il y avait longtemps que je n’avais pas été pris de court comme cela et je veux absolument combattre l’injustice qui se déroule présentement. Louer Little miss sunshine, même s’il n’y a pas de version française. Mettez les sous-titres! Ne gâchez pas le (futur) plaisir de voir ce sarcastique road-movie, drôle, touchant et souvent juste, traitant de sujets aussi délicats que l’homosexualité, la superficialité, la communication familiale… Je le répète : c’est un petit bijou « underdog »!! L’ayant vu trop tard, il aurait mérité de faire partie de ma liste des Top 5 2006! Par François Gauthier cinemascope@deltar.net

 
 
 

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