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DEEP COVER

  • Cinémascope
  • 17 juin
  • 2 min de lecture
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3/5 min. (Prime). Agréablement surpris. Rien pour écrire à sa mère, mais le film de Tom Kingsley est un bon et divertissant 100 minutes de comédie et d’action. J’n’ai jamais été un fan de « slapstick », c’est-à-dire les grosses comédies stupides et vides (Il y a quelques exceptions que je ne nommerai, car j’ai encore un peu d’orgueil…..  Hep !!) J’ai toujours préféré les comédies de situations, avec une approche dramatique du/des personnages impliqués. Deep cover s’y apparente sensiblement. En fait, j’écris dans le vide. Je préfère les comédies d’action anglaises (et Monty pythons, hahahaha !!!) Voyez, celles à la Edgar Wright/Simon Pegg (Shaun of the dead; Hot fuzz) et les premières productions de Guy Ritchie (Snatch ; Lock, stock and two smoking barrels). Deep cover se veut tel et y parvient énergiquement. De plus, l’histoire de Derek Connolly, Colin Trevorrow, Ben Ashenden et Alexander Owen joue habilement avec les clichés du genre (le trio disparate, la mafia haineuse, les coups tordus, les triple agents hahaha !!, …) et nous gardent allumés jusqu’à l’épilogue….. Poche hollywoodien !!! Mais bon, à part les cinq dernières minutes, Deep cover m’a gardé en haleine et avec le sourire. Le trio principal joue la fine ligne de la caricature (Orlando Bloom la déborde souvent, mais vu que c’est d’la comédie, il est investi, hahaha !! Et Nick Mohammed, que je ne connais ni d’Eve, ni d’Adam, est le stéréotype même du « nerd » coincé et il a d’excellentes lignes, hahaha !! Ça et il est une porte d’entrée sur le marché asiatique. Ben voyons, voir qu’il est là juste pour son charisme…. Bande de naifs !!! Hahaha !!) Mais sérieusement, en ces temps de vaches maigres, MAIS SURTOUT que cela vienne d’Amazon Prime (Ya rien qui sort de bon de cette plateforme, seigneur !!!), c’est une belle surprise. Ça ne se veut pas du grand art, mais c’n’est pas non plus un film de série Zzz…. De bonnes performances, une histoire qui se tient (et quelques « twists »), un scénario vif (ce sont des comédiens venant de l’impro, donc…) et une caméra amoureuse de sa distribution (Kingsley aime ses acteurs et ça se voit !) Ouaip, une belle surprise ! Par François Gauthier cinemascope@deltar.net

 
 
 

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