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OPUS

  • Cinémascope
  • 3 juin
  • 1 min de lecture

2/5. Pour la petite histoire, je savais que j’allais visionner une « pocherie ». Les critiques et le public l’ayant vu n’ont guère apprécié l’expérience. Si je l’ai tout de même regardé, c’est parce que le consensus général était que John Malkovich brillait dans ces ténèbres et j’aime BEAUCOUP l’acteur…… Et il aurait pu attendre une autre offre, shit !!! Honnêtement, je n’ai pas vu les étincelles tant prisées dans ce rôle de chanteur iconique sur le retour, chef d’un culte de fans finis. Il faut écrire que l’histoire est particulièrement stupide et déjà vue (Un indice : les films Midsommar et/ou Wicker man, pour n’en nommer que deux exemples, tsé veut dire !?!) et que le scénario (du « vert » réalisateur Mark Anthony Green) est plutôt mince, voire inepte. Tous les personnages sont des stéréotypes et la majorité de la distribution ne cherche pas à montrer l’autre côté de leur miroir. Elle joue et dit ce qu’il y a sur papier, ni plus, ni moins. La nuance est aux abonnés absente. On voit tout venir dix milles à l’avance et pour un thriller, ce n’est franchement pas sain. Je ne recommanderais même pas Opus à mon pire ennemi Pauvre perte de temps cérébrale. Par François Gauthier cinemascope@deltar.net

 
 
 

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