2/5 max. Nicolas Cage est un homme fier, mais endetté. J’ai VRAIMENT eu le sentiment qu’il a tourné ce film pour ses enfants. Il n’y a pas beaucoup d’effort de sa part dans cette production qui ne se prend quand même pas trop au sérieux (Ouf, une m**dite chance… !!) Donc, Willy’s wonderland est une adaptation trèèèèès libre du jeu vidéo Five nights at Freddy’s où des animatroniques deviennent machiavéliques et veulent la peau de celui qui se trouve trop près la nuit. En tout cas, de quoi de même pis on s’en fout ! Le but principal du film est que Cage démolisse tout c’qui bouge, dans son style si particulier, qui fait son « nouveau » succès depuis quelques productions, soit le débile mental aux yeux exorbités et au sourire carnassier. Le problème est que l’histoire n’ose pas aller à fond dans la démence, ni dans le gore. Ce qui donne un Cage un peu sur le pilote automatique tapant sur des robots giclant de l’huile. Ce n’est ni horreur, ni dramatique, ni drôle, ni prenant. La routine embarque rapidement (Ça n’aide pas quand, après chaque « victime », on voit l’anti-zhéros changer de t-shirt et « caler » sa bière !!) et au final, on se soucie peu de son avenir, car 1- on s’en doute en cr**s qu’il s’en sortira et 2- c’est tellement « low budget » que ça fait un peu pitié. J’me demande même s’ils ont « bargainé » avec Cage pour un salaire moindre, vu qu’il dit « fuck all » du film !??!! L’acteur a fait mieux dans le genre (Mom and dad ; Mandy ; Color out of space ; …) En tout cas, c’était plate et m’a donné zéro envie de jouer au jeu !!!!!!!!!!!!!!!!! Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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