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WEAPONS/HEURE DE DISPARITION

  • Cinémascope
  • 15 oct.
  • 1 min de lecture

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3/5 min. Une maudite chance que je n’aie pas fouillé le « pedigree » du cinéaste, car je vous assure que j’aurais passer mon tour, ayant Barbarian (2022) loin en estime. Mais grâce à cette inattention ET au buzz autour de la production, je pardonne le jeune Zach Cregger d’exister. J’admets que la facture visuelle de Weapons fait Rashomon des pauvres, mais un très intéressant Rashomon des pauvres (Vous savez ? Le classique japonais du Grand Akira Kurosawa ?!) Cregger a brodé une intrigue où plusieurs points de vue s’entrecroisent concernant la mystérieuse disparition simultanée de dix-sept enfants, sauf un, à 2h17 du matin. Il mène lentement, mais sûrement la barque, en distillant l’information jusqu’à la révélation finale (Épilogue un peu bâclé, mais plus satisfaisant que son « affaire » précédente !!!! En tout cas…) De plus, les performances de l’entière distribution donnent du galon au récit, même s’ils ne sont pas tous convaincants à défaut d’être convaincus (Une bonne note supplémentaire à Julia Garner et Amy Madigan). Il n’y a pas longtemps, j’écrivais qu’il y avait une agréable vague de nouveaux cinéastes dans le domaine de l’horreur (les frères Philippou, Ari Aster, Robert Eggers, Osgood Perkins, Parker Finn (pour faire plaisir à mon chum Dany !!), Jordan Peele, etc…) et pour l’Instant et ce, malgré Barbarian et Miss March (comédie débilitante !!!), j’inclurai Zach Cregger. Sa vision du prochain Resident evil fera foi de tout pour son avenir………………….. !!! Quant à Weapons, voyez le pour le suspense et les interprétations. Par François Gauthier cinemascope@deltar.net

 
 
 

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