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WE LIVE IN TIME/L’AMOUR AU PRÉSENT

  • Cinémascope
  • 28 janv.
  • 1 min de lecture

3/5 min. Love story, Somewhere in time, Ghost, the Bridges of Madison county, Moulin rouge!, Brokeback mountain, Twilight, euh,… Chaque génération a son incontournable et indétrônable romance tragique (sans oublier les milliers d’autres plus, hum ! Écrivons quétaines, style…… Nah ! J’l’écrirai pas………….. Huuummm !! Ben… The Notebook. Bon, c’est fait. J’vais m’faire trucider, haha !!) Avec le 14 Février approchant à grands pas, la ville des rêves sort, comme à chaque année, le grand jeu et honnêtement, elle n’a pas manqué le coche avec le petit dernier de John Crowley (Boy A ; Is anybody there ?; Brooklyn). Malgré une histoire convenue de perte d’un être cher, Crowley et le scénariste Nick Payne ont construit un très décent mélodrame non-linéaire où ils nous font découvrir l’amour naissant de deux jeunes adultes, la production de cette amour (maison, enfant), les indéniables obstacles de la Vie et la tragédie que personne ne veut connaitre. La production est une coche au-dessus de la mêlée dans le genre grâce à l’implication de ses deux vedettes principales. Andrew Garfield et Florence Pugh sont tout simplement magique, de véritables a(i)mants pour les yeux et le cœur du spectateur. Leur attachant naturel donne une belle notoriété aux textes simples de Payne, malgré la lourdeur du thème (L’écrivain a un nom prédestiné… !??!) Je n’irai pas jusqu’à écrire que j’ai sorti les mouchoirs, mais l’ensemble est bien amené et touchant. Des « airs looses » facile à l’horizon, messieurs, héhé !! Par François Gauthier cinemascope@deltar.net

 
 
 

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