2/5. Ouf !! Je l’aime, Fabrice et c’est la principale raison pourquoi j’ai regardé un Homme pressé. Mais ………… Soupir ! J’ai une limite à ne pas dépasser et Luchini en est partie responsable. Cette histoire, hautement mélodramatique et appuyée, n’est qu’un exercice pour l’acteur. Un exercice bien relevé, mais détaché et fictionnel. Je n’écris pas que les victimes de malaises cardiaques ne ressemblent pas au personnage principal. Non ! J’écris que la façon dont le réalisateur Hervé Mimran (Tout ce qui brille) mène sa barque, c’est pratiquement de l’enfantillage. C’est moralisateur au coton et il cherche à soutirer la sympathie du public par des artifices de base. On voit venir l’épilogue gros comme le bras et tout ce qui précède devient vite redondant et inintéressant. En gros, je n’aime pas être pris par la main et un Homme pressé a essayé de me les attacher !!!!! Je n’suis pas né d’la dernière pluie, mon grand, et si j’veux entendre du violon, j’vais mettre un CD en « background » pendant que je ferai autre chose que de REregarder !!! Très décevant ! Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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