4/5. (Prime) Divisé en trois actes (d’où le titre anglais), le titre français est honnêtement plus significatif : le cinéaste suédois Ruben Östlund (the Square ; Turist) s’en donne à cœur joie sur les classes sociales, soit sans filtre, ni compromis !!!! L’humour est cru, viscéral et parfois visuel (la séquence du « caca + vomi » est……… Écrivons extrême !?!), mais Ostlund touche toujours sa cible. Gagnant de la Palme d’or à Cannes l’an passé, je proposerais que c’est peut-être un peu poussif qu’il ait remporté, mais ayant vu la liste des 21 productions en compétition, c’est presque par défaut (Par contre, le cinéaste est un favori de la Mecque du Septième, tous ses films présentés au festival ont gagné un prix… !! 1 + 1 = 2, j’écris ça de même, héhé !!) Ça n’enlève rien à la force brute du message de Triangle of sadness, le film livre, à nous d’accepter l’offrande. Si vous êtes ouvert d’esprit ET aimer voir des riches tomber de leur piédestal, Triangle of sadness est un cours de géométrie rudimentaire, mais « efficacace »……………….. !!!!!!!!!!!!!!!!!! Personnellement, ce fut un plaisir coupable, hihihi !! Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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