2/5. Bon, mis à part le fait que la production fait télévisuelle, je fus très content de retrouver l’Australien Paul Hogan dans le rôle qui a bercé mon enfance et il le sait (C’est sûr, tsé, voyons, ppfff !!), car il doit sa popularité mondiale à ce dernier. Ce « faux » épisode de Crocodile Dundee, mêlé à de la télé-réalité, est adorable dans la mesure où on est un fan fini du personnage et de l’acteur. Hogan, on dira ce qu’on voudra, est un naturel devant la caméra. Il ne sonne pas faux ! Qu’il reprenne les rênes du mythique Dundee est évidemment stratégique. Ne connaissant pas la situation financière de l’acteur, je dirais qu’il a besoin de payer son loyer ET qu’il a un manque d’attention publique. Ce qui est paradoxal, alors que dans le film, il s’évertue à fuir ses admirateurs et autres paparazzis et/ou à se justifier à ses proches (Faut écrire que le scénario du réalisateur Dean Murphy et Robert Mond est assez « basic », merci !!) The Very excellent Mr. Dundee est sous la barre du digeste, entre autres pour l’utilisation outrancière de la musique (de John Foreman. Très cartoonesque !) et le peu d’imagination de Murphy (un tâcheron issu de la télé australienne, je suppose ?!). Mais j’ai tout de même été rassasié. J’ai aimé Crocodile Dundee (Eh oui ! Même celui à Los Angeles. Une coche en-dessous des deux premières aventures, évidemment !) et le retrouver m’a sustenté. Gentil ET oubliable. Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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