2/5 (Prime). Ouille, ma tête !! C’n’était pas une barre tendre que je viens de recevoir, là !!! Basé sur les mémoires de l’auteur J.R. Moehringer (Qui ??? Un journaliste gagnant du Pulitzer en 2000. So……….. ?????), the Tender bar est l’archétype classique du film où le jeune protagoniste deviendra grand, embûches et humour sur le chemin. Franchement, ce n’est pas tant agréable à regarder et à entendre. Le beau George Clooney s’est laissé aller sur celui-là, tout comme le scénariste William Monahan (the Departed ; Body of lies ; Kingdom of heaven; Gambler) ! J’admets que visuellement, la reconstitution des époques est réussie et que les acteurs, surtout Ben Affleck (Oui, oui ! Il ne fait pas honte à son ‘tit frère Casey !!) sont investis, à défaut d’être tous convaincants. The Tender bar est à la limite du mélodrame, bourré de clichés et parfois un peu décousu au montage. On commence le creux de l’hiver et les plateformes et autres exploitants bouchent des trous pour sustenter la clientèle plus ou moins coincée à la maison. Gentil, oubliable et sans conséquence. En gros, beuh !! Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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