Affreux. Tout simplement affreux. Pourtant, je n’étais pas en quête d’un successeur à un de mes pires moments cinématographiques à vie (aka Alone in the dark. Uwe Boll, 2005), mais les circonstances en auront décidé autrement. Mais il faut savoir relativiser ! Avec Alone…, j’avais trente ans et encore un peu naïf. Avec Poison rose, j’en ai 44 et beaucoup de désillusions. Mais c’est toujours un concours de circonstances (et un travail artistique de m**de) et Poison rose peut se targuer d’avoir touché le sommet… du fond !!!!!!!!!!!!!!!!!! Quelle mauvaise production, c’en est gênant ! Tout est raté. T-O-U-T !!!! Du scénario au jeu (Je n’savais pas que Morgan Freeman était devenu « has been » et que Brendan Fraser était plus gros qu’Obélix !?!!??) en passant par la direction artistique et la réalisation, tout !!! C’est horrible ! Ça se veut un film noir, mais la seule allusion est le Faucon maltais en prologue sur une enseigne de cinéma. En fait, c’est une pâle, trèèèèès pâle copie de Chinatown (R. Polanski. 1973) avec tous les clichés s’y référant. Lisez, j’pourrais continuer à déglutiner de la bile sur le pseudo-film de Francesco Cinquemani et George Gallo (ce qui me fait généralement du bien), mais ce serait lui donner encore trop d’attention. C’est honteusement poche. Je le conseille seulement pour les sados-masos intellos et les jeunots cinéastes pour voir à ne pas REfaire !!! 1/5 par François Gauthier P.S. : Ça m’a pris deux jours pour finir un film de 94m… Horrible, juste horrible ! Je suis recroquevillé dans un coin de mon bureau en position fœtale !!!!!!
Comments