2/5 min. Soit j’suis blasé, soit quelque chose m’a échappé ! J’aime les films d’animation (en tout cas, la majorité de ce que je regarde) ; j’aime l’humour absurde et caricaturale, quand elle est justifiée (généralement dans ce genre de productions, la pilule passe bien ! Moins dans les versions réelles, ex. : les dernières comédies à Sandler. Yiiiisssshhhh !!!) ; j’aime que ce type de films amène un message pas trop appuyé (Bon, je comprends qu’il faut parfois que cela soit grossi pour que certaines personnes CAT-CHENT !!! Seigneur…) Mais avec les Mitchell vs. les machines, c’était un tantinet « too much » pour mes goûts. Le film fait parfaitement partie de son temps : animation vive et colorée ; insertion d’émojis et autres images technologiques ; personnages grossis au pied carré ; histoire exagérément poussive ; … C’est Cloudy with a chance of meatballs (P. Lord & C. Miller, 2009) croisé de Mom and dad save the world (G. Beeman, 1992) à l’ère du cellulaire. Personnellement, j’ai trouvé que le réalisateur Michael Rianda et son coscénariste Jeff Rowe auraient dû couper au montage, tant le message « familial » (« On est différents, mais on s’aime ») est omniprésent. Ya « appuyé » et ya « enfoncé dans ‘gorge » !!!!! En tout cas… Que les artisans jouent sur l’incapacité de la société de se défaire de leurs outils technologiques, c’est intelligemment facile à montrer, mais… Trop est comme pas assez ! Il n’y a pas de dosage ici et c’est en grande partie ce qui m’a fait décrocher. Bof ! Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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