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THE LONG WALK/MARCHE OU CRÈVE

  • Cinémascope
  • 3 déc.
  • 2 min de lecture
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2.5/5. Le film de Francis Lawrence saura satisfaire les amateurs purs et durs de l’auteur Stephen King. Pour les autres, dont je fais partie, ça pourrait être une loooooongue marche !!??!! Je n’écris pas que la production soit dénuée de qualité. Non ! Techniquement, le réalisateur a su garder le rythme avec une caméra mobile (Pas l’choix, évidemment, vu que les personnages n’arrêtent jamais de marcher, tsé !) et intéressée à sa distribution. C’est d’ailleurs le meilleur point du film. Les acteurs sont intelligemment distribués à des caractères stéréotypés et leur talent permet au film de nous garder attentif (Ça et le fait qu’on ne se tapera pas 108 minutes de « blablatage » sans savoir qui finira ce marathon, sacrifice !)


Honnêtement, j’ai trouvé ça un peu interminable, mais j’admets que j’étais curieux de voir d’où découlait l’inspiration de King. The Long walk est la première œuvre écrite de l’auteur à succès (sous le pseudonyme Richard Bachman), mais publiée après Carrie (soit 1979). On voit d’où provient the Running man, entre autres chose !! L’univers dystopique, terrain fertile de King, lui permet de mettre son doigt sur les bobos d’une société qui priorise l’argent, le pouvoir, le contrôle au détriment de l’individu. The Long walk, le roman, est la source première d’une carrière prolifique et the Long walk, le film, une adaptation toujours aussi circonstancielle, mais un peu surlignée et déjà vu. Assez paradoxal quand on sait qu’elle est une des instigatrices du genre cinématographique post-moderne (King l’a débutée en 1966, encore étudiant à l’Université du Maine). C’est probablement une inspiration à Suzanne Collins et son Hunger games, dont Lawrence en a adapté les romans au cinéma. OoOuUUuhhHH !!! Coïncidence, j’écris ça de même !??!!


« Anyway », le film peut se targuer d’être un bon divertissement ET de ne pas faire la looooongue listes de navets que le Septième nous a gratifié concernant les œuvres du maitre de l’horreur. Mais comme je l’ai mentionné plus haut, c’est plutôt rudimentaire. Une chance que la distribution, menée par les bons Cooper Hoffman et David Jonsson, est investie. Ça nous garde dans la marche, mettons !!!! Bon, j’radote là (comme les personnages, héhé !) Par François Gauthier cinemascope@deltar.net


 
 
 

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