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Cinémascope

THE/LA MULE


À bientôt 89 chandelles, le vénérable Clint Eastwood signe à nouveau. Un véritable monument qui fait encore la barbe aux plus jeunes (En fait, à pas mal tout le monde de l’industrie, vu qu’il est TRÈÈÈS vieux, tsé !!! Genre le Yoda du Septième ?!) The Mule n’est pas sa plus achevée œuvre, mais elle a cette profondeur de compréhension qui lui permettrait de finir sur une bonne note. Un « workaholic » bougonneux quadragénaire (rôle « pantoufle » à Clint. Dans l’dictionnaire, son nom est synonyme de vieux bougon!!!) joue sur son âge pour tromper la justice et passer de la drogue entre états. Eastwood a su reconnaitre le deuxième niveau du scénario de Nick Schenk (d’après un fait divers du New York Times de Sam Dolnick) et jouer sur son âge d’acteur pour aller chercher la sympathie du public. Vieux renard, va !! Honnêtement, je ne sais pas si je devrais écrire que the Mule soit son chant du cygne tant il est encore alerte devant et derrière la caméra, mais quand on le regarde, il fait VRAIMENT son âge et je crois que j’aimerais finir avec cette image du vieux papy rédempteur. Je ne croyais pas écrire ça un jour, mais Jack Nicholson a été remplacé le temps d’un moment : « Clint’s the man. Yo !! » The Mule est une belle leçon de cinéma. 3.5/5 par François Gauthier cinemascope@deltar.net

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