2/5 (Netflix). OMG !!! Ça, c’était pénible plus taxes !!! Que le cinéaste Lee Daniels (Precious ; the Butler) veuille s’attarder à l’horreur, bien lui en fasse. Qu’il utilise un fait divers pour crédibiliser son choix (un cas de maison hantée dans l’Indiana en 2011), soit. Qu’il réussisse à convaincre d’excellentes actrices (Andra Day, Demi Singleton, Aunjanue Ellis-Taylor, Mo’Nique et Glenn Close) pour donner une certaine profondeur aux personnages, c’est légitime. Alors, que s’est-il passé au final ??!! Clairement, Daniels a ses racines ancrées dans le drame humain et clairement, on voit qu’il essaie de tourner son film de façon « réaliste », mais lorsque les événements deviennent de plus en plus paranormaux, il ne sait pas comment les gérer et utilise la gentille petite bible de la maison hantée 101, avec tous les clichés pustulant dans ce type de production. Regarder the Delivrance, c’est regarder un mauvais mélange de l’Exorciste, Amityville, Haunting, Conjuring, Paranormal « activiting » et autres « Connecticutting » (Le nombre de films sur le sujet est assez impressionnant. Ouache !!) et je ne sais pas si je dois être déçu de voir autant de talents dans une si « or-di-nai-re » production ou penser qu’une chance qu’elles étaient là, car l’expérience aurait été encore plus horrible. La vraie délivrance est de voir le générique de fin, Seigneur………………. !!! Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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