Quoi de mieux que de voir, dans le même générique, les noms de Bill Condon, Ian McKellen et Helen Mirren ?! Ça donne le goût de regarder the Good liar, n’est-ce pas ? Surtout lorsque le synopsis parle de manigances, extorsion, manipulation, « jeu-de-chat-et-souris ». Eh bien, le livre (de Nicholas Searle) doit être très ordinaire ou bien le scénariste Jeffrey Hatcher ne sait pas adapter. Il n’y a aucune tension dramatique ; plusieurs séquences sonnent fausses ; il n’y a pas de chimie entre les deux acteurs principaux (qui, pourtant, sont de grands professionnels) et la finale est tirée par les cheveux que c’en est risible. The Good liar porte bien son titre, il m’a bien roulé. Ma bulle fut pétée dès les premiers instants pour ne jamais se regonfler…. Srputloutloute, la balloune ben « flat » par terre, gisant inerte telle une flaque de vomi…… Non, là, j’y vais fort. ‘Scusez ! Ya des bonnes choses dans le film de Condon, seulement je ne les ai pas vu… Ah oui ! McKellen et Mirren sont corrects, mais j’l’ai écrit : ce sont des pros. The Good liar est juste ordinairement prévisible. 2/5 par François Gauthier cinemascope@deltar.net
Comments