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Cinémascope

THE FIRST OMEN/LA MALÉDICTION: LE COMMENCEMENT

Dernière mise à jour : 4 juin 2024


3/5 (Disney+). Sans vouloir dénigrer le film (qui n’est franchement pas mauvais), j’essaie de comprendre le besoin du pourquoi du comment du wtf ???!!! Si on s’assied deux secondes et regarde avec rationalité la chose, je ne peux juste pas m’expliquer POURQUOI ils ont tourné un « prequel » à une série qui, à la base, est plutôt, disons poliment, ordinaire !??!! Surtout 33 ans après le #4 (et 18 ans après le remake qui était assez poche. J’ai mis ma vieille critique à la fin ! Ouaip ! Aussi longtemps !!!) Surtout dans une société moderne qui se veut laïque !??! Mais à part mes questionnements, je me suis surpris à trouver the First omen pas désagréable. Le travail de la réalisatrice Arkasha Stevenson tend vers Rosemary’s baby et Don’t look now, des classiques de l’horreur subjectif, donc lent, posé et réfléchi. Pas nécessairement le type que la clientèle d’aujourd’hui est habitué et pour ça, je lui lève mon chapeau pour ce défi relevé haut la main. Ledit défi n’était pas véritablement énorme, vu que cette série est de deuxième zone, mais avec l’accent mis sur les bons points (personnages, direction artistique, caméra subjective), on a droit à une production sensiblement intéressante (même si on en connait le dénouement). Je n’écrirai pas que j’ai fait des sauts, mais l’ambiance est tendue et ténébreuse. C’est peut-être la renaissance de Damien à laquelle on assiste et si c’est le cas, j’ai la foi……………………….. P.S. : Le meilleur de la série, après l’original, évidemment ! Mais comme j’l’ai écrit, c’n’était pas très difficile comme défi !! Par François Gauthier cinemascope@deltar.net


THE OMEN/LA MALÉDICTION


C’est comme regarder le remake de Psycho par Gus Van Sant :  les premières minutes, on exulte.  Puis, le plaisir coupable fait place au desinteret .  Et finalement, au « Abrégez, qu’on en finisse!! » J’avais fait mes devoirs de rafraîchissement, il y a quelques semaines, me souvenant que de certains passages du classique de Richard Donner (et pour me faire peur, pissou que je suis!)  Mais à la vue de ce « copier/coller », tout de même bien modelé par John « tâcheron » Moore, on ne peut que bâiller d’ennui.  De plus, sauf pour le minuscule rôle de Mia Farrow (il y a longtemps qu’on ne l’avait vue, celle-là!), la distribution complète ne convainc pas, ne faisant que de la figuration jusqu’au générique final (Eux aussi semblent être à l’étape « Abrégez, qu’on en finisse!! »)  Un autre remake passé au tordeur du mercantilisme.  Le seul bon coup du film, c’est sa sortie mondiale un 6 du 06 de l’année 2006.  Pour le reste, Dieu, Jésus et tous les autres saints peuvent flotter tranquilles.  Quant à Satan, il n’a pas travaillé assez fort pour empêcher cette sortie….  Pour néophytes seulement.  2/5 par François Gauthier cinemascope@deltar.net


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