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Cinémascope

THE BOOK OF CLARENCE


2/5. Personnellement, le constat final de cette relecture des derniers jours du Christ n’a fait que renforcer mon amour pour l’humour satirique des Pythons et leur excellent Life of Brian, alors que le film de l’Afro-Américain Jeymes Samuel s’apparente plus à l’univers des frères Wayans (sans l’humour sous la ceinture. Donc, finalement sans humour du tout !!!) Son travail derrière la caméra est rythmé et soutenu, le gros du problème réside dans le montage de l’histoire et dans l’incohérence et l’inconsistance des situations. On suit un voleur à-la-petite-semaine endetté (correct LaKeith Stanfield) qui voit « une lumière » en personnifiant le Messie pour son bien personnel, mais se prend au jeu et s’enlise encore plus dans le pétrin…. Le film prend un long moment pour installer la fameuse prémisse, puis s’épivarde sur des situations culte du livre Saint et déboule la finale en quatrième vitesse. The Book of Clarence aurait pu être une très bonne satire politico-religieuse, mais Samuel ne va pas à fond dans son idée et on assiste à une série de sketches qui font du surplace. C’est un rendez-vous manqué avec le message sociopolitique. C’est juste bof ! Par François Gauthier cinemascope@deltar.net

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