2/5 max. Le mois d’Octobre est inévitablement synonyme de films d’horreur. Pour le meilleur, mais souvent le pire !! Un des derniers méfaits (qui mordra vite la poussière, souhaitons-le !) est the Boogeyman. Combien de productions sur le thème du monstre de l’ombre y a-t-il, je n’ose même pas me mettre à compter et le film de Rob Savage n’aide pas la cause, tant il est solidement générique. Le scénario de Scott Beck, Bryan Woods et Mark Heyman (d’après une nouvelle de Stephen King, OooOOuuUUUuuHHhHH !!!!) ne dépasse guère les conventions du genre et Savage le tourne avec une déconcertante linéarité. Les personnages sont creux (surtout le père thérapeute, joué sans entrain par Chris Messina) et il est assez difficile d’avoir de l’empathie pour ses deux enfants (correctes Sophie Thatcher et Vivien Lyra Blair). J’écrirai que la meilleure partie est le prologue et la visite du névrosé (joué par David Dastmalchian) et que les artisans auraient dû s’attarder plus sur son cas que sur la famille qui goûte ses contrecoups, mais bon, j’suis qui, moi, pour leur dire comment faire un bon film d’horreur, tsé, monsieur pissou devant l’Éternel ?! En tout cas, c’pas avec cette affaire-là que j’vais rester éveillé la nuitte et regardé dessous mon litte toutes les cinq minutes. No, meudame ! Fast & furious 14 est plus épeurant…………………… (Mais pour d’autres raisons, hAHahAHaha !!!) Le Crotte-matante ? Qui crève direct sur les tablettes. Vous savez, le mois d’Octobre est aussi synonyme de filière 13, tsé veut dire !??!!......................... Shit. Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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