2,5/5. HahAhAhhAahA!! Plaisant! Futile, mais plaisant. C’est vraiment le style série B, mais avec « p-r-e-s-q-u-e » une notion d’intelligence. J’dirais B+, hahahaha !! Ya vraiment de bonnes idées (de grandeur), mais le scénario de Kurt Wimmer (Pourquoi écrit-il encore, lui ? Salt, Expend4bles, Misfits, Ultraviolet, …) Voyez ?!!??!!) est rudimentaire et simpliste au coton. D’ailleurs, j’admets être un peu déçu du réalisateur David Ayer. Il s’est écrire, lui (Fury, End of watch, Harsh times, Training day)!! Pourquoi avoir accepté ce projet, ça me dépasse quelque peu. Mais on sait un peu pourquoi, n’e$t-ce pa$ ?!!?! Donc, ceci est un véhicule promotionnel pour Jason Statham, le type même de produit que Van Damme, Norris et autre Seagal faisaient il y a quelques générations déjà et, dans les circonstances, c’est fait avec goût et passion. Une organisation ultra secrète à la Mission : impossible, MI6 et autre Kingsman qui fait la « vraie » justice pour la société occidentale, les « Beekeepers ». L’idée ne suit pas totalement les bottines, mais Ayer mène l’abeille à tir d’ailes et au final, tout le monde (sauf les méchants), ils sont contents. Justice est rendue. Si ce n’était des textes de Kurtssise Wiener euh… Wimmer, the Beekeeper passerait à un échelon au-dessus, style Gerard Butler………………………………. HhHHAaAahhhAaaAAHHhhaaA !!! ‘Scusez ! P.S. : Les actions d’Aspirin n’ont pas monté en flèche pendant ces 105 minutes de visionnement, j’vous l’garantis… !!! Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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