Ça me peine de l’écrire, mais la série Terminator est sûrement une de celles les plus embrouillées et plus en guerre contre elle-même. Pourtant, si on fait fi de la logistique « historique », chaque production avait ses hauts et ses bas, mais généralement des hauts. J’écrirai que je les ai toutes aimées (à plus moins fort degré), mais qu’il n’y en a aucune qui a réussi à égaler T2 (Évidemment, un badge d’honneur au premier pour avoir mis les bases, tsé, franchement, c’est sûr !!!) Je ne reviendrai pas sur chacune d’elles (allez fouiller dans les archives de l’ancien site. Eh oui ! Cinémascope est assez vieux… !!), mais là, c’est la goutte qui fait déborder mon vase. J’ai accepté la « genèse » (Terminator : genisys), mais qu’un T-800 devienne papa ??!! Non, là, franchement, les scénaristes sont au bout du rouleau… De plus, ça n’amène AB-SO-LU-MENT rien au récit de ladite genèse. En fait, Dark fate est pratiquement une « autre » genèse ». Come on ! Arrêtez de prendre les amateurs pour des lanternes. Si on aime le produit, c’est à cause des DEUX premiers, puis lentement, Hollywood l’a échappé. Ramener Linda Hamilton et James Cameron (en tant que producteur) fut une étincelle de génie vite éteinte par la vacuité du scénario de David S. Goyer, Justin Rhodes et Billy Ray qui remâche tout ce qui s’est fait précédemment. Le réalisateur fanatique Tim Miller (Deadpool) a fait ce qu’il a pu, mais l’ensemble est vide, mais vide !! C’est désarmant ! Le Terminator est le « Michael Myers » de la science-fiction et je ne crois pas que cela soit un compliment… 2.5/5 par François Gauthier cinemascope@deltar.net P.S. : PAPA ?? WTF… ??!!
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