2.5/5. Honnêtement, j’ai trouvé que c’était une belle lettre d’amour d’un fils à son père, le réalisateur Timothy Scott Bogart étant le rejeton du créateur de la compagnie de disque indépendante Casablanca records Neil Bogart dans les années ‘70. Ce que j’ai surtout apprécié est son approche hyperbolique des événements amenant à la création de la maison de disques et à l’émergence d’artistes ayant marqué la musique (KISS, Donna Summer, Gladys Knight, Village people, …) J’admets qu’il semble s’être gardé une petite gêne, car le côté « sex, drugs & rock’n’roll » est assez posé, voire effacé, mais le simple fait de voir et entendre dans ce gentil foutoir cette histoire de succès improbable est agréablement informatif. Une biographie qui aurait mérité plus de punch, mais l’ensemble est divertissant. Pour amateurs de musique de tout acabit. Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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