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SPINAL TAP II: THE END CONTINUES

  • Cinémascope
  • 25 nov.
  • 2 min de lecture

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2.5/5. Hahaha!! Malgré les années, la sagesse n’a pas fait son œuvre sur les vieux routiers qui nous ont probablement donné un des meilleurs « mockumentary » du Septième. Christopher Guest, Michael McKean, Harry Shearer et Rob Reiner sortent de leurs « retraites » pour faire un deuxième pied-de-nez à l’industrie de la musique. Spinal Tap II : the end continues est presque épiphanique, alors qu’une de leur « victime » (Black Sabbath) a justement fait une ultime retrouvaille avant de perdre l’iconique chanteur Ozzy Osbourne (On se doute bien que le quatuor comique a fait un tout p’tit peu exprès, n’est-ce pas, hahahaha !? Sauf pour le décès du Prince des ténèbres, bien sûr ! Mais c’est peut-être Ozzy qui a le dernier mot, finalement, hahaha !! Voyez le film pour l’allusion. RIP, Ozzman !)

Ce deuxième opus n’est pas aussi poignant que le précédent, mais la production touche encore une fois les bonnes cordes (surtout celle de la nostalgie) et revoir les quatre acteurs quarante ans plus tard reprendre leurs personnages est souriant et triste à la fois, car on voit très bien qu’ils ne leur en restent pas long à faire, autant artistiquement que physiquement. Ils ressassent beaucoup de vieux clichés qu’ils ont eux-mêmes créés et il manque nettement de jus pour nous garder captif jusqu’à la fin, une finale qui semble avoir été leur première idée et ont brodé autour pour avoir un film de 83 minutes bien étiré. Spinal Tap avaient-ils besoin de ressusciter ? Bien sûr, c’est la norme dans le monde musical (Parlez-en à Sabbath, Kiss, Môtley Crûe et autres System of a down, hahahaha !!), mais personnellement, j’ai trouvé que ça manquait de mordant. Bah ! Tap 2 a le mérite de remettre en mémoire le #1 et je vais de ce pas écouter l’album de ’84, This is Spinal Tap, avec les succès Hell hole, Big bottom et Stonehenge, hahahaha !!! Par François Gauthier cinemascope@deltar.net

 
 
 

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