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Cinémascope

SPIDER-MAN: ACROSS THE SPIDER-VERSE/SPIDER-MAN: À TRAVERS LE SPIDER-VERSE


3.5/5. Ils reprennent exactement où ils nous ont laissé il y a déjà cinq ans (Que le temps passe vite, seigneur !) Le jeune Miles Morales aka Spider-Man règle le compte des malfrats tout en s’ennuyant de Gwen Stacy aka Spider-Girl d’un autre univers jusqu’à ce qu’un nouveau Némésis (le Spot) dérègle les multivers, ce qui alertera l’organisation des Spider-Man de venir en aide à notre jeune héros. Rien que ça !! Hahaha !! Les artisans (trop à nommer. Trois réalisateurs, trois scénaristes (dont le duo Miller/Lord), un millier de concepteurs graphiques, visuels, musicaux et autres + intérêt) sont parvenus à surpasser la qualité de la première aventure. Il y a de tout en abondance, mais jamais fait avec surenchère. C’est un gros clip animé graphiquement impressionnant qui ne laisse pas de côté l’humanisme des personnages, car notre jeune héros a des problèmes de son âge (parents, amis, amour) en plus de gérer une organisation multiverselle et un « big » vilain pas piqué des vers (Excellente trouvaille des scénaristes). Across the Spider-Verse est maintenant le métrage animé le plus long du Septième (2h20m) et il passe en un clin d’œil. Ce que j’ai le plus apprécié (outre le respect des artisans de coller à la source de Stan Lee et Steve Ditko) est la témérité des concepteurs de s’amuser avec le graphisme. L’image est merveilleusement éclatée, scintillante, chargée de couleurs au point où parfois j’eus l’impression d’être dans un musée et de regarder des tableaux expressionnistes, impressionnistes, cubistes, surréalistes, pop’art qui se marient tous pour un ensemble lumineux et toujours cohérent. Ils ont osé pousser le bouchon un peu plus loin et ont gagné leur pari (En tout cas, ils ont gagné mon esprit et mon cœur, hihi !!) Mon seul bémol est la finale, car je ne savais pas qu’ils avaient l’intention d’en faire une trilogie (En tout cas, pas dans ce sens-là !!) et je suis resté sur ma faim. Mais cela implique aussi le retour de toute la gang exactement là où ils nous laissent et ça, c’est trèèèès enivrant !!! Pour les jeunes de cœur de 2 à 99 ans. Par François Gauthier cinemascope@deltar.net P.S. : Ils sont même PRESQUE parvenus à me faire aimer les chansons d’artistes hip-hop, rap, pop et autres sous-genres imprononçables. Je ne les écouterais pas sans image (N’exagérons pas, quand même !!), mais elles s’imbriquent bien dans le contexte du film.


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