2.5/5 (Netflix). Sacrifice, je comprends pourquoi les artisans de Slumberland ne mentionne pas le nom du pionnier de l’animation Winsor McCay, il n’en reste que le nom du héros (devenue ici héroïne) et le monde imaginaire de Slumberland. Les scénaristes David Guion et Michael Handelman se sont servis de cet univers magique pour refaire the NeverEnding story (Vous rappelez-vous ? Falcor et Atreyu ?! En tout cas…), ce qui n’est pas un mal en soi, mais l’histoire est mince. Je crois que le réalisateur Francis Lawrence (Constantine ; I am legend ; Hunger games 2-3-3 ½) a pensé la même chose et a mis le paquet sur le visuel, ce qui donne comme résultat un très beau contenant vide. Jason Momoa, dans le rôle de Flip (seul autre rescapé des aventures de McCay), montre une autre facette de son talent et la désinvolture qu’il présente est plutôt étonnante. Ça ne sauve en rien cette revisite, mais l’acteur est amusant dans ce contre-emploi. Personnellement, tout ce que Slumberland a réussi à faire fut de me donner le goût de revoir Little Nemo : Adventures in Slumberland (M. Hata, W. T. Hurtz. 1989). Saviez-vous que Chris Columbus, Moebius et Ray Bradbury ont travaillé sur ce projet ? Ben, à c’t’heure, oui !! Hihi !! Quant à Slumberland, ça pourra faire une bonne gardienne d’enfants pendant les fêtes…….. Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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