3/5 max. Douglas Trumbull est une sommité dans le domaine des effets visuels (au même titre que Ray Harryhausen et Ray Winston). Il a travaillé sur 2001, Close encounters of the third kind, Star trek the movie et Blade runner, entre autres chose ! Hey ? Tsé, genre, c’n’est comme pas gênant pantoute, n’est-ce pas ??!! Dans ma quête de découvrir des classiques méconnus et ayant un fort penchant pour la science-fiction, je me devais de rectifier ce tir et de regarder la première œuvre réalisée par l’artiste. De plus, au scénario, il y a un jeune Michael Cimino et en avant-plan, dans un de ses premiers « premier rôle », l’acteur Bruce Dern. Comment ai-je pu passer à côté de cela, je vous le demande ??!! …………….. Sûrement parce que je le devais ! ATTENTION !! Ne vous méprenez pas ! Silent running a de grandes qualités, seulement que cela manque de peaufinement. Les miniatures de vaisseaux spatiales sont magnifiques, vraiment ! Mais visuellement, ça fait maquette. Les décors sont réellement travaillés (bravo à Frank Lombardo), mais ça date et fait années ’70 solide ! Dern est excellent et intense dans son rôle de biologiste sauveur des restants de Mère Nature, mais… Mais rien pantoute ! Ici, ça fonctionne. Le message environnementaliste passe la rampe (Hey ?! On est 45 ans derrière et déjà certains se préoccupaient de ce que l’Humanité était en train de faire subir à la planète !!!??!!??! Visionnaire…… ??) Et les robots sont franchement réussis. George Lucas a assurément pris des notes en regardant Silent running avant de tourner Star Wars : a new hope cinq ans plus tard (Pareil pour Glen A. Larson et son Galactica !?!??! D’ailleurs, pour la petite histoire, 20th Century fox et Universal se sont mutuellement poursuivis à ce sujet pour finalement régler à l’amiable. Voilà pour l’anecdote). Silent running n’est pas le classique espéré, mais fut certainement embryonnaire de beaucoup d’œuvres qui l’ont suivi. Quant à Douglas Trumbull, il a compris qu’il était meilleur comme conseiller qu’en commandant. Non pas que ses projets personnels furent mauvais. NNOOOOOOONNN !!!!!! Hey ?! Bande de langues sales !!! Juste qu’Il manquait de profondeur scénaristique (Son autre « méfait » fut Brainstorm et il comprit……….. Nous aussi !) Concernant Silent running, il faut V-R-A-I-M-E-N-T aimer la science-fiction pour s’y attarder. J’écris ça de même……… !! Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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