3/5. Bah! Pourquoi pas?! Ce n’est franchement pas la série du siècle, mais il faut admettre que les scénaristes ont eu parfois des éclairs de génie dans quelques-unes de leurs productions. Bon, si j’étais sarcastique (ce que je ne suis pas. Hey ! Arrêtez donc !! Bande de …. !!), j’écrirais que certains pièges sont terriblement imaginatifs et glauques et bizarrement cruels et …. Ya des thérapies qui se perdent !! Sinon, si on embarque dans le jeu, c’est le but de l’exercice de la série, soit voir des « losers » se faire trucider. C’est cathartique, j’imagine et cette dixième installation respecte la règle. L’idée de mettre l’action entre le #1 et le #2 est intelligente dans la mesure où John Kramer alias Jigsaw est mort découpé, charcuté, transpercé, écrasé, alouette, depuis le #4 ou #5 (‘Me rappelle pu pis j’m’en sacre !) et on le retrouve en phase terminal au Mexique avec une vendetta personnelle. On pourrait appeler ça une genèse des motivations de l’antihéros et c’est la meilleure idée que les artisans ont eue depuis un « boutte », c’est-à-dire s’attarder au personnage central qui fait « vivre » cette épopée depuis près de vingt ans. Le produit final est tellement bien qu’on risque fortement de revoir Jigsaw dans les prochaines années (De toute façon, ça ne pouvait pas être pire que les 3-4 derniers…. YyyIiiISSShHH !!!) Pour les fans avant tout et autres amateurs d’horreur, ce 10e n’est pas gênant du tout. Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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