3/5 min. Une fois qu’on s’est acclimaté au nouveau look du héros (sa première aventure solo date quand même de plus d’une décennie, tsé ! La technologie a évolué rapidement !! Donc… !!), on peut apprécier sa deuxième péripétie. J’admets que je ne comprends pas trop le « move » de tourner un deuxième Chat potté, mais maintenant qu’il est fait, autant lui donner sa chance. Alors ? Divertissant, très. Les scénaristes Paul Fisher et Tommy Swerdlow ont remanié quelques contes et apposé la signature « Shrek » (en moins pointu. Plus familial, disons !) pour donner une nouvelle profondeur au félin botté. Malgré dix années découlées, on est en terres connues (beaucoup de clins d’œil aux précédentes productions) avec une histoire plutôt linéaire et prévisible. Pourtant, grâce à la réalisation vive de Joel Crawford (aidé de Januel Mercade), on se laisse bercer par les affres de Potté et les répliques de ses acolytes et/ou ennemis (mes préférés sont les ours et Boucle d’or. Exquis ! Oh !!! WOAH!!!! Et le Grand méchant loup. Personnage extrêmement solide, dont j’ai vite deviné le « pedigree », mais eh !? So what !!!) Puss in boots : the last wish ouvre la porte toute grande pour un certain ogre…………………………………. Quand même près de vingt ans depuis sa rencontre avec un âne achalant. On touche du bois !!!! Quant à Puss in boots 2, ben, c’est un agréable retour. P.S. : Certains graphismes m’ont chicoté, par contre ! Ce mélange de 3D et de 2D qui m’a que trop rappelé mon film animé préf de 2022, aka the Bad guys (P. Perifel). Mais je comprends l’exercice. Ce sont deux productions issues de Dreamworks animation et comme Bad guys a pogné, tsé, franchement, quand même, évidemment, pffff, ok ! C’est correct !!!! Héhé !! Ciao Perrito !! Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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