PAINT

2/5. À moins d’avoir vécu dans une caverne toute sa vie, il est pratiquement impossible de ne pas reconnaitre cette boule de cheveu et ce pinceau. J’admets que je n’ai pas vraiment connu l’artiste-peintre Bob Ross et son émission s’étendant de 1983 à 1994, car j’étais dans la préadolescence et donc, avais d’autres préoccupations que de regarder un gars faire un tableau pendant 1hre !!! Le premier long métrage de Brit McAdams s’avère…………………… inconstant et inconséquent. Son approche ouvertement humoristique manque sa cible et les thèmes recensés (féminisme, professionnalisme, relations amoureuses) sont franchement mal exploités. Si ce n’était du comédien Owen Wilson qui joue sur la fine ligne caricaturale, je ne vous conseillerais même pas d’y jeter un œil, mais la vedette jongle bien avec le personnage et sauve Paint d’un naufrage complet. Mais c’est pas mal le seul point véritablement positif que je puisse donner à cette petite comédie pas réellement drôle, ni touchante. Dommage pour Bob Ross, mais yest mort, fait que………………………………….. Par François Gauthier cinemascope@deltar.net