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Cinémascope

NEVER LET GO/NE JAMAIS LÂCHER


2.5/5. Ç’a du potentiel, vraiment, mais…….. Il y a ce manque d’ambiguïté qui aurait permis à Never let go de ne pas nous lâcher, justement ! Je ne veux pas vendre la mèche, car honnêtement, il y a beaucoup de bons points à la production du cinéaste français Alexandre Aja (Crawl, Piranha 3D, Haute tension, the Hills have eyes 2006). Pas nécessairement grâce à lui, mais surtout grâce à l’histoire des scénaristes KC Coughlin et Ryan Grassby qui s’apparente énormément à un certain film de Stanley Kubrick, tourné en 1980 que l’auteur Stephen King dénigre (Là, j’donne un peu trop d’info, mais bon… L’apocalypse, le Mal, la réclusion, la folie, … En tout cas !!) Les 4/5e du déroulement du film sont intéressants (malgré le fait que j’ai deviné le punch depuis le début, vu qu’il manque de subtilité), mais grâce au scénario et à la présence convaincue d’Halle Berry (très bonne) et des jeunes Anthony B. Jenkins et Percy Daggs IV), je me suis surpris à croire à leurs niaiseries. Malheureusement, le « dernier mille » fut plus laborieux, Aja cherchant à sustenter une clique autre que celle qui aime ce type de production (En gros, ça finit « cute » et sans réelle surprise. Vous savez, le genre de production avec une finale qui vous laisse perplexe en finissant le visionnement !!) Perso, ayant compris le modus operandi dès le départ et avec les éléments sensiblement bien manipulés par Aja, je considère que la finale ET le film en soi ont raté la coche et c’est bien dommage. Mais c’est drôle à écrire, mais je vous le conseille tout de même. Ya beaucoup de bonnes choses à soutirer de Never let go…. Soyez ouverts. Il cherche à choquer et ça marche quelques fois… !!! Par François Gauthier cinemacope@deltar.net

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