2/5. C’que j’suis bête, mais bête !!!! J’comprends pas pourquoi j’ai voulu regarder ça ?! Une des raisons que j’ai trouvées pour me déculpabiliser est qu’il y avait Jean Reno et dans ma p’tite tête de nœuds, je croyais que j’allais voir une production française (pour me donner bonne conscience, vu quand je n’en regarde pas beaucoup ces temps-ci !!) Beeeen non, grand cave !! C’t’un film américano-brésilien (mettre emoji de tape dans l’front icitte). Une autre raison est que c’était tranquille en sorties physiques et numériques. Pourtant, je sais éperdument que je n’aime pas les productions animalières. Généralement trop nunuche pour mes goûts. Ya une clientèle pour ça et bien leur en fasse (C’est bon pour leur conscience environnementale… !!), mais personnellement, et même si j’apprécie les efforts moraux des artistes s’attaquant à ce genre de (mé)faits, l’ensemble est toujours, euh !? Comment écrire ?! Disons « surligné », caricatural et stéréotypé. My penguin friend ne fait pas exception. Basé sur un fait vécu (soupir), où un petit manchot se perd et tombe sur un vieux pêcheur mélancolique et s’adoptent (Teeeellement cuuuute !!!) pour quelques années, My penguin friend schématise et dramatise une histoire qui n’en est pas vraiment une. J’ai un ami qui a déjà trouvé un chaton pis personne en a fait un film ??!! En tout cas, vous voyez ben que je ne suis pas le public cible. Ce qui m’a le plus déplu est de voir Reno dans la peau d’un vieillard renfermé. Ce personnage (adapté par les scénaristes Kristen Lazarian et Paulina Lagudi Ulrich) est un amalgame simpliste de remords, de rédemption, d’espoir, de gentillesse, de tristesse, de « whatever » qui peut caractériser le troisième âge avec positivisme. On a connu l’acteur plus inspiré, mettons ! Bah ! Les images du Brésil sont agréablement chaudes et le p’tit pingouin est tout mignon tout plein (ooOuuUhHH !!!) Mais va sérieusement falloir que j’me parle !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Shit…. Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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