Au golf, quand tu fais un « bogey » après un « birdie », on appelle ça « manger son oiselet » !! Le réalisateur F. Gary Gray vient de faire e-xac-te-ment la même chose avec ses trois dernières productions. Après l’excellente biographie Straight outta Compton (sur le band hip-hop N.W.A.), il est revenu avec le gonflé Fast & furious 8 (rien à écrire de plus…………….. !!!!!!!!!!!!!!!!!!) et maintenant un « reboot » de Men in black (Pis yest en liste pour tourner une adaptation d’une série animée de deuxième zone des années ’80, M.A.S.K. YYyyyiiiiisssshhhhh !!!!!!!!!) Un de ses proches devrait le prendre par la main et lui dire de renvoyer son agent, entre autres chose. MIB 4 est visuellement bon, mais n’a absolument rien de neuf à offrir, surtout qu’ils ont décidé de flusher tout le monde (sauf Emma Thompson, qui fait une brève apparition, tout comme le carlin extra-terrestre et le groupe de brindilles dopés au café). Le nouveau duo, Chris Hemsworth et Tessa Thompson, sont potables ensemble, mais leurs répliques sont et/ou vides et/ou vides (Ça, c’est vide !!!) Sans parler de l’histoire débile imaginée par les scénaristes Matt Holloway et Art Marcum, écrivons seulement que ça ne prend pas la tête à Papineau pour trouver la taupe, mettons ?!??!! Mais peut-être que le mandat de Gray était justement de tuer pour de bon les hommes en noir ?? Mais non, voyons ! Impossible. C’est Hollywood, la ville des rêves qui ne rêvent plus qu’à la pia$$e. Allez, un ‘tit coup de « neuralyzer » pour oublier tout ça. « BIIIIZZZ » Hein ? Ben coudon, j’me suis endormi devant la télé éteinte. Cré moi…… !!! 2/5 max. par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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