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Cinémascope

LONGLEGS


3/5 max. Le film d’Osgood Perkins (le fils d’Anthony. Tsé veut dire…. !!!) est un Silence of the lambs 2.0 à la sauce occulte. Ce n’est pas mauvais en soi, simplement que seuls les « esprits faibles » (!!!) feront dans leurs pantalons. Je suis ouvert « d’esprit » et j’ai bien voulu donner la chance au coureur, surtout que la critique en général était dithyrambique. (…………..) Mouais, ben, mon constat est celui-ci : ça ne leur prend pas grand-chose pour être épaté. Combien de productions ont-ils sous la cravate, eux autres ? Ce genre de films n’est certes pas légion, mais il y en a certainement eu quelques-uns depuis le classique de Jonathan Demme en 1991 (et encore, ce dernier ne réinventait pas la roue, mais l’a fait avec maestria). L’intérêt principal de Longlegs est sa distribution. La petite Maika Monroe est convaincue (à défaut d’être vraiment convaincante) et Nicola Cage dose parfaitement sa folle signature pour nous offrir un personnage plutôt intéressant. Mais l’enquête est quelque peu simpliste et l’atmosphère introduit par Perkins et son directeur photo Andres Arochi manque de poigne. Mon problème, je crois, est que j’ai mis Longlegs sur un piédestal trop rapidement et je suis tombé des nus tout aussi rapidement. Bah ! S’adresse avant tout aux néophytes du Septième et autres « facilement-peureux-au-deuxième-étage » (N.B. : Écris celui qui pensait en être un !!!!! « Esprit »….) Par François Gauthier cinemascope@deltar.net

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