2/5. Mouin, bon, euh?? Tsé, genre…….. Comme…….. Euh…………….. Huuuuuummm !!! En tout cas ! (Mettre réflexion de six jours ici) Mouin, bon, euh……………………………… ????!!!???!!!!???!!! (Soupir) Je ne m’attendais à rien, car je savais pertinemment que ça ne serait pas, comment écrirais-je, relevé (C’est une production de science-fiction française, tsé, quand même !!! Soulignons le mot « français » au feutre noir), mais je me sentais d’attaque et voulais, par la bande, souligner à ma manière la fête de nos Cousins. Ben, elle et la St-Jean-Baptiste, même combat !! Je perds à tous les coups !! Non pas que le film de Bertrand Bonello (Saint-Laurent) ne soit dénué d’intérêt et de questions existentielles sur l’avenir humaine, mais……….. Ayoye ma concentration !! N’est pas maitre du film choral qui veut ! Vous rappelez-vous de the Fountain, d’Aronofsky (2006) ? C’est sensiblement la même structure, avec moins de budget et de profondeur. Une femme du futur (Léa Seydoux, correcte du début à la fin) ne veut pas effacer sa mémoire pour son bien-être physique, car elle veut garder son humanité (c’est-à-dire ses émotions). Une histoire de karma, de génétique, de philosophie de fond de tiroir pis c’est 2h26m durant (J’ai skippé le générique de fin, j’vous l’écris !!!) Que Bonello essaie, ça, je lui lance mon chapeau. Que les producteurs y croient (Bonello, Justin Taurand, Nancy Grant, Jamal Zeinal Zade et Xavier Dolan. Eh oui ! Lui !), bien leur en fassent (Yont pas dû faire beaucoup de pécule là !!!) Mais il faut ce genre de productions. Oui, oui ! Des tentatives autres que commerciales. C’est dans ces films que l’art du cinéma rayonne………… Mais pas ici !! Meilleur chance la prochaine fois, les artissssses. Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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