Il fallait bien s’y attendre ! Pour un budget environnant les 5M$, l’inventive histoire du tandem Christopher Landon/Scott Lobdell en a engendré près de 60M$, donc suite oblige. Et qui dit suite précipitée dit histoire précipitée. Lobdell ayant eu l’intelligence de s’éclipser, tout le poids est revenu à l’auteur des suites de Paranormal activity. Donc, si le public est moindrement intelligent, il comprendra AVANT le début du visionnement que c’était foutu d’avance. Mais j’l’ai vu pareil pour la même raison que j’ai vu le #1 : mes filles voulaient le voir. Mais cette fois-ci, ça nous a retombé sur le nez (Personnellement, j’étais préparé… !!) ‘Juste pas rapport ! Ya tellement d’incohérences que c’en est gênant. De plus, exit le fantastique, c’est maintenant un film de science-fiction, avec une machine à voyager dans le temps (ce qui expliquerait le premier. Pfffff !!! Comme si on voulait une réponse…) Et le mélange horreur/humour du premier opus est pratiquement aux abonnés absent. En gros, rien ne fonctionne dans Happy death day 2u, c’est une insulte au premier et aux spectateurs qui l’ont aimé. Mais j’m’en doutais, une suite de ce type ne réussit guère à sortir du giron de l’original. « Hollywood, quand tu les tiens… !! » 2/5 par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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