3/5 max. C’est une recette consommée. Le parent monoparental (pour X raison) doit s’occuper de sa progéniture seul. Maintenant, il y a généralement deux tangentes pour présenter le tout : le drame ou la comédie. Et le mix des deux ! Le réalisateur/scénaristes Paul Weitz (American pie ; About a boy ; In good company; Little Fockers) s’est attardé au fait vécu de l’auteur Matt Logelin pour pondre d’un « feel-good movie » mettant en vedette l’électrique Kevin Hart (que j’adore !!) Il met donc le comédien en situation dramatique et le laisse être « moins » lui-même (ou peut-être pas ??!!) Hart prouve qu’il a de la graine de talent, autre que de cabotiner. Fatherhood n’est pas un grand film, loin de là, mais grâce aux textes de Weitz (et de Dana Stevens) et au jeu de la distribution entière (Lil Rey Howery en comique de service est excellent !!!), j’ai cru aux péripéties de ce père veuf entouré de gens trèèèèès compréhensif (C’est un film, tsé !! Tout le monde, il est gentil et tout le monde, il est fin !!! En tout cas…) Étant monoparental, j’avoue que plusieurs situations sont venues me chercher (‘Chus papa poule et un grand bébé !!!) Mais je sais aussi faire la part des choses et on assiste ici à un divertissement limite sentimento-mocheton. Mais LIMITE !! C’est « cute » et Kevin Hart est surprenant de retenue. Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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