2/5. J’avoue ne pas m’être renseigné sur Don’t worry darling et les premiers instants de la projection furent intéressantes. Mais la scénariste Katie Silberman vend rapidement la mèche et toute forme de tension dramatique s’estompe et l’actrice/réalisatrice Olivia Wilde n’arrive jamais à nous garder captif au désarroi et malheur de son héroïne principale (bonne Florence Pugh, reprenant un rôle ressemblant à Midsommar). Les ¾ du film s’étire inutilement, malgré le pot aux roses dévoilé, et la finale tombe à plat. Les références scénaristiques et visuelles sont nombreuses, mais donnent plus dans le plagiat que dans l’hommage (Alice au pays des merveilles et Westworld étant la plus flagrantes !) Un rendez-vous manqué avec le complot reclus ! Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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