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Cinémascope

DOLOR Y GLORIA/DOULEUR ET GLOIRE


J’admets que j’ai regardé Dolor y gloria par pur respect artistique. Je ne suis pas un fan du cinéaste Pedro Almodovar. Ma filmographie le concernant s’arrête à Parle avec elle (2002), la Peau que j’habite (2011), Volver (2006), la Mauvaise éducation (2004), Talons aiguilles (1991) et Femmes au bord de la crise de nerfs (1988). Sur 21 productions, j’écrirai que c’est bien peu… !. Ses films ont une belle et langoureuse signature, mais ce n’est pas ma tasse de « café » !! Mais parce que son petit dernier à 2-3 nominations aux Academy awards, je l’ai visionné (Je visionne tous les nominés, donc…) Je ne m’avancerai pas trop (car je le connais peu), mais Dolor y gloria semble la production la plus personnelle d’Almodovar. Antonio Banderas interprète un réalisateur fatigué qui a une dent contre tous et personne (L’acteur est bon, mais sans plus. Aucune chance qu’il gagne. Le Joker de Phoenix les mangera tous !) C’est lent (dans l’bon sens du terme), sensible, intelligent, concis, avec cette touche féminine qui plane toujours sur ses œuvres (D’ailleurs, il y a un bel hommage à la mère du cinéaste fictif, jouée par Penelope Cruz). Pedro Almodovar fait partie de ces rares cinéastes dont la plume soulève l’enclume. Encore ici, son scénario est magnifique, c’n’est juste pas mon type… Mais je reconnais le talent ! 3/5 min. par François Gauthier cinemascope@deltar.net

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