3/5 (Netflix). J’vais être franc, si j’l’ai regardé, c’est parce que je n’avais rien d’autre à foutre. Voilà ! C’est écrit ! C’était le moins pire des choix cette semaine et j’aime bien l’acteur Idris Elba. D’ailleurs, il est en grande partie la cause du visionnement. Tous connaissent les rumeurs sur le successeur de James Bond ?!? Que le personnage pourrait éventuellement changer de couleur de peau ? Je ne suis pas raciste. J’ai des ami(e)s d’autres nationalités. Mon bogue est que l’auteur Ian Fleming a écrit un personnage d’une certaine façon ; que le Septième l’a interprété à sa manière (mais dans le respect de l’œuvre) et maintenant, comment dirais-je, faudrait changer ce qui est pour être « trandy », dans le vent ??!! En tout cas…………. Bon, ok, ça n’a rien à voir avec Concrete cowboy et le travail de Ricky Staub, qui est correct. L’histoire est linéaire (merci au scénariste Dan Walser et au réalisateur d’être aussi peu original !!! D’après le livre Ghetto cowboy de Greg Neri) et les acteurs sont potables (mais plusieurs sont de vrais personnes ayant vécu l’événement, donc euh…. ?? Keep the faith, je suppose ?!) Le véritable intérêt réside là : des cowboys urbains en plein métropole à notre époque ?! Je voudrais y croire, mais c’est tellement invraisemblable que je n’y suis pas parvenu (Ça et la réconciliation père/fils trop souvent vu au cinéma. Pas un mix gagnant, disons !) La production est bonne. C’est décemment amené, pas trop souligné, le jeu de la distribution est bon, Staub (dont c’est la première réalisation) a fait un travail honnête (académique, mais honnête). Mais en gros, c’est difficile à avaler et le modus operandi fut trop souvent vu. Gentil et oubliable. Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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