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COMPANION/COMPAGNON

  • Cinémascope
  • 31 mars
  • 1 min de lecture

3/5 min. L’Intelligence artificielle est la nouvelle saveur du jour. D’accord, pourquoi pas ?! C’est l’air (ou l’ère, héhé !) du temps. J’ai approché le film du nouveau venu Drew Hancock (coréalisateur du show télé de Jimmy Kimmel) avec un peu de crainte, j’admets, ayant eu quelques mauvaises expériences sur ledit thème dans les dernières années (M3gan et Subservience me venant à l’esprit. D’ailleurs, Companion n’approche pas la grâce de Ex machina, mais Hancock fait sien l’idée de base avec humour et attitude. Euh, bon, continuons !) Donc, voici un gentil petit couple (Sophie Thatcher et Jack Quaid, tous deux solides) en escapade dans un coin reculé de nulle part (Tellement original. En tout cas !) Sur place, quelques amis et un « mafieux ». La table est mise rapidement. Quelqu’un mourra, mais qui, diantre ?! Ben quin ! Une fois le plan exécuté, tout part en vrille jusqu’au dénouement final, un peu bâclé, mais bon…. Écrit comme ça, Companion ne passe pas la rampe de l’intérêt, n’est-ce pas ? Eh bien, grâce au scénario d’Hancock et à l’excellence du jeu des acteurs, cette petite production sans prétention surprend agréablement. Hancock touche à plusieurs genres en même temps (horreur, comédie, drame, sci-fi) et parvient à tous les doser pour donner une atmosphère plausible d’un univers techno-sociétal. J’oserais même écrire que Companion est Barbie (le film) sur la cocaïne (ce que le film the Substance a abusé, mais je m’épivarde, là ! Héhéhé !!! Désolé…) Je vous le conseille, ce sera un gentil et bon compagnon de soirée, hihihi ! ‘Scusez là…. Par François Gauthier cinemascope@deltar.net

 
 
 

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